mon chum veut que je fume mais ça me tente pas

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ArpePassionné9

elle/elle

2a
Mon chum veut m’initier au cannabis mais je n’ai pas envie. Je l’aime alors j’ai envie de lui faire plaisir mais au fond de moi je n’ai pas envie. Qu’est-ce-que je devrais faire?

Réponses

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    TartareHonnête15

    il/lui

    2a
    Si tu ne veux pas, fait le pas. C’est important de s’écouter, si tu prend une décision pour faire plaisir à quelqu’un tu vas le regretter après. Tu as le droit de ne pas vouloir et dit toi que c’est ta vie et tes propres choix!
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    SeitanDynamique16

    elle/elle

    2a
    Je verrais pas pourquoi il serait facher que tu veuilles pas tu lui dit pas comment vivre ça vie et lui devrait faire pareil.

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Liste de discussions

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    VentApaisant12

    elle/elle

    2h
    Je fais comment??

    Je suis vraiment proche de mon crush... mais il a une blonde!

    Il ne sait pas que c'est mon crush pas parce que j'ai peur de perdre ce que j'ai bâtit avec lui et de ne plus avoir de chances mais parce que c'est vraiment quelqu'un avec qui je me sens spécial et je voudrais pas le perdre vu qu'il est vraiment sweet et c'est un bon ami.


    Bref il m'a entendu parler à des filles de ma classe que j'aimais quelqu'un et là il veut vraiment savoir c'est qui, mais comme "C'EST TOI QUE J'AIME!!!!!" en tout cas je sais pas comment faire, lui dire ou pas, faire une devinette ou shooter, un long texte et attentive à sa réponse ou juste son nom et un remis de genre 1 jour après, en réel, en virtuel?? Comme on dit en bon Québecois; "J'suis dans merde en titi" haha


    xx vent

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    CamomilleRassurant4

    elle/elle

    19h
    Ni passion, ni talent... jamais LA meilleure, jamais sincère

    Bonjour,


    Version courte :


    Comment avez-vous compris ce que vous aimez?

    Comment avez-vous appris quel type d'environnement, de métier, de personnes, etc., est-ce que vous recherchez?

    Comment être reconnaissant.e envers la vie? Comment être satisfait.e?

    Comment aimer? Comment être satisfaite? Comment être reconnaissante? Comment être sincère?


    Je n'ai ni passion ni talent. Je suis assez bonne dans tout, mais jamais assez bonne pour trôner. J'ai honte de perdre ; j'ai honte de mon handicap de gratitude.


    Je repousse les gens qui veulent s'approcher de moi et je suis parfois obsédée avec ceux qui ne me voient pas...



    Version longue


    Je suis déjà à ma dernière session de cégep. La date limite pour accepter un offre d'université est le 1er mai. Je n'ai pas encore pris ma décision.


    Après deux ans en Sciences, lettres et arts (SLA), tout ce que j'ai compris, c'est que je déteste la biologie : je déteste réduire le corps humain aux molécules et réactions chimiques et je ne comprends pas la ligne entre le vivant et le non-vivant.


    À cause de la particularité de mon programme (SLA), j'ai essayé plusieurs cours dans différents domaines (on s'entend que tout reste à la surface, voire même loin de la surface du domaine quelconque)...


    Mais, je n'ai pas remarqué un cours plus difficile que l'autre. De plus, je ne me sens pas plus avantagée dans un domaine par rapport aux autres personnes... Peu importe l'activité que je fais, je peux finir dans top 25%, mais jamais, JAMAIS, JAMAIS première... Je suis "bonne", mais jamais LA meilleure, et je veux être la meilleure, du moins, je pense que je veux l'être.


    Je fais partie de ce groupe embarrassant où nul ne s'en aperçoit. Les meilleurs sont appelés à l'avant et reçoivent la reconnaissance de tous, les pires reçoivent de l'attention car il faut les aider, mais le reste tombe dans l'oubli.


    Pour plus d'une fois, je suis arrivée finaliste pour qqch (un prix, une bourse, une mention d'honneur, un concours...), mais jamais je n'ai remporté. Si on nomme plusieurs personnes et on remet le prix à un, je suis le "plusieurs personnes". Si c'est le top 3 gagne quelque chose, je suis la 4e (en effet, c'est une histoire vraie). Si on nomme 2 personnes parmi une centaine, et on remet le prix à 1 seule personne, je suis la rejetée.


    L'écart n'est pas toujours très grand, mais je ne suis jamais, Jamais, JAMAIS prise, et ce, peu importe le domaine : français, histoire, mathématiques, physique, chimie, musique...


    Par exemple, on vient de recevoir les notes de l'épreuve uniforme de français, j'ai eu AAB. J'ai un B. J'ai honte.J'ai honte de perdre, de perdre à chaque fois.Pire, j'ai aussi honte de ne pas être assez reconnaissante envers la vie. Ma raison me dit que je suis déjà privilégiée, mais je suis incapable d'accepter les résultats, je suis incapable d'être satisfaite.


    Non, en fait, j'ai déjà obtenu des reconnaissances. J'ai déjà fini #1 à mon école, j'ai déjà reçu des prix... mais dès que je les obtiens, mon regard se tourne vers ce qu'il y a plus haut. J'oublie ce que j'ai. Je suis incapable de me contenter.


    Quand je pense aimer une matière comme la physique, j'ai peur de ne pas exceller assez pour étudier en physique, de devenir chercheuse en physique tellement que c'est compétitif.


    Cela s'applique aussi dans mes relations interpersonnelles. Vous l'avez sûrement deviné, je ne suis pas une bonne amie. Une fois que je connais quelqu'un, je vais pouvoir déduire ses pensées et de m'approcher de lui/elle sans être très sincère. Mon manque de sincérité va me rattraper : je peux manipuler jusqu'à un point où mon interlocuteur pense qu'on est bestie, mais moi, je sais que je ne suis pas si engagée dans cette relation et qu'il/elle ne me connaît pas. Je lui ai dessiné une fausse image de moi parce qu'à un point de ma vie, j'ai trouvé cette personne utile. Par logique, je ressens que c'est horrible. Résultat? j'ai honte pour ne pas avoir honte de mon manque de sincérité. Je peux même me sortir des arguments comme quoi ces gens ne perdent en réalité rien : ils ne s'en aperçoivent jamais, JAMAIS, de mon manque de sincérité. Je me dis même que c'est moi la victime, parce que c'est moi qui est forcée d'être actrice, parce qu'eux, ils ne savent rien de ce qui se passe. Bref, ça fait que je ne suis pas la priorité à personne. Il y a eu plusieurs qui ont tenté de me prendre dans leur groupe, c'est toujours moi qui refuse, qui commence à les éviter. Je suis peut-être incapable de me rapprocher de quelqu'un. Je commence à en avoir marre rapidement...


    En plus, je sélectionne les gens potentiellement amis aussi sévèrement que si je filtrais pour un amoureux. Le temps que les gens "friend zone" et "sex zone" les autres. Moi, je suis en train de "friend zone" et de "kick out" les autres. Je n'ai pas de "sex zone"... je doute que j'aie envie de tomber amoureuse.


    Oh oui, vous savez quel genre de personne qui ne m'ennuie pas? Les gens avec qui je n'ai pas été capable de tisser une amitié. C'est ironique, c'est paradoxal, c'est contradictoire, c'est ridicule!!



    Ahhh... quelle horrible personne...

    Que faire? Comment aimer? Comment être satisfaite? Comment être reconnaissante? Comment être sincère?

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    PâtesDynamique8

    elle/elle

    20h
    Depression speculative

    Ce titre est lié à un certain mal-être que je cache depuis longtemps, un mal-être lié à mon apparence, mon intellect bref juste moi quoi. J'ai commencé à me questionner sérieusement ces derniers temps (même si pas vraiment cela fait déjà depuis des années que j'essaye de me comprendre) j'ai donc récemment remarquer que le traitement que j'ai reçu de mes parents et juste des autres ces dernières années étaient tous simplement "injuste", par exemple le fait que l'on s'adresse à moi sans respect à mon égard. Cette réflexion est assez liée au fait qu'en ce moment, j'ai cette phase où je me sens fatigué et déprimer, j'essaye de me reprendre, mais je me dis que ça n'en vaux peut être pas la peine. J'ai si hâte de disparaître parfois. Je ne veux plus me confronter aux autres cela m'épuise trop, je ne sais pas comment m'exprimer auprès d'eux. Parfois, je me rappelle que l'on me disait être grosse et autre en fait, je ne sais pas vraiment quand est ce que ma corpulence a commencé à changer, ça coïncide avec les moments de mon enfance où les choses étaient peu compliquer... Un déménagement duquel je n'arrivais pas à m'adapter et un long moment de solitude... Ou mes parents ont rarement essayé d'aider, mais bref après les choses, on commencer à s'améliorer ? Mais en même temps pas vraiment certaines de mes interactions avec les autres mon blessé au point ou aujourd'hui je n'arrive pas vraiment à tisser des liens, je suis comme stoïque si on veut, on me dit souvent que j'arbore une expression sérieuse dans les couloirs de l'école ce qui peut décourager certain de venir me parler. J'ai pensé faire une dépression il y a deux ans et j'espérais que ce soit le cas, car cela aurait pu être une explication à mon attitude et de savoir que ce n'est pas juste " l'adolescence". Cette maladie aurait pu être l'occasion d'expliquer ce blocage bizarre qui m'empêche de juste "profiter" de la vie (peu importe ce que cela veut dire.) de me sentir heureuse et épanouie. Tout cela fait peut-être partie du passer, mais je ne peux pas m'empêcher de maudire mes parents d'avoir été aussi négligent envers moi si a l'école, je m'efforçais d'aller bien à la maison je me sentais toujours mal et seule j'arrivais pas à voir cet endroit comme étant ma maison, aujourd'hui à chaque fois que je me rappelle de mon malheur, je ne peux pas m'empêcher de me sentir mélancolique et cela me donne l'impression qu'importe ce qui adviendra, le futur me paraîtra toujours aussi sombre.

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    CannelleCalme11

    elle/elle

    23h
    Mélangée

    C’est vraiment compliqué, mais je vais commencer par le début. Désolé à l’avance pour le roman. Je suis devenue amie avec un gars de ma classe, parce que on a commencé à parler à un moment donné. Il est vraiment gentil et c’est rapidement devenu mon ami. Je pouvais être moi-même, ce qui est rare, avec lui. À chaque battement, qui dure 5 minutes à mon école, on se parle. J’ai développée un crush sur lui. Je l’ai gardé secret comme à mon habitude. Mais, vendredi, je suis allée chez une amie. On était trois. Vu que c’est mes 2 meilleures amies, je leur ai avoué que j’avais un crush sur quelqu’un. Je leur ai dit c’est qui. Après ça, j’ai beaucoup pensé à mon crush en fin de semaine. Aujourd’hui, le lundi 22 avril, le gars m’a demandé de faire un travail en équipe de 2 avec lui. J’ai acceptée et, après avoir fini le 1er devoir, on s’est attaqué au 2e devoir. À un moment, j’ai relevée la tête et j’ai réalisé que tout le monde nous regardait! J’ai commencé à stresser et me suis reconcentré sur mon devoir. Pendant la période, un gars taquinait mon crush. Au dîner, mes amies, ceux à quelle je n'ai pas dit que j’avais un crush sur lui, m’ont taquinée en l’appelant mon amoureux. De plus, elles m’ont appris qu’il avait un crush sur moi! Depuis ce moment, je suis stressée, gênée et confuse. Que devrais-je faire? Je suis plus stressée depuis que je sais qu’il a un crush sur moi. Pouvez-vous m’aider à y voir plus claire et à avancer dans cet histoire? Merci beaucoup d’avance!