Quelqu'un sait ce que j'ai ?
GrenouilleBrillante4
il/lui·17 ans
Bonjour, pour vous dans le contexte j'ai 15ans et depuis mes 12 - 13 j'ai été plusieurs fois hospitaliser pour "dépression sévère" etc... mais jusqu'à récemment j'ai des symptômes différents de mes anciens. Je suis aller voir un médecin qui lui, ne trouve pas de mots a mettre sur ce que je ressent. Il a beau me prescrire des médication différentes mais rien ne change (prozac(il a doublée ma dose de base), Abilify)(depuis l'Abilify je vais un peu mieux).
Mes symptômes sont simple j'ai des hauts et des bas extrême par exemple: pendant 4h je peut être EXTREMEMENT HEUREUX et pendant les 3 prochaine heures j'ai des "pulsions"(selon le médecin c'est des pulsions) ces "pulsions" sont des moments INVIVABLE ET INTERMINABLE ou je veut me faire du mal ou tous simplement en finir(mon père cache les armes a feux).Pour le moment jme suis contrôler mais je finis souvent par me faire du mal(jme mord car j'ai pas de lame).
Bref tous sa pour dire que j'ai des "pulsions" et je sais pas ce que j'ai (j'ai surtout peur d'avoir une maladie mentale). Deso pour le temps que je fais perdre mais j'aimerais juste avoir l'avis d'une personne autre que mon médecin.
Dernières publications
Liste de discussions
-
AvocatPositif11
elle/elle
2jFellationBonjour je suis une fille j’ai 14 ans est je me suis fait un copain est je commence niveau sexualité mon chum aime me faire des cuni il veut que je le suce mais moi je n’es pas envie je ne sais pas comment lui dire est je me sens mal car lui il me touche ect j’ai peur qu’il ne m’aime pue si je ne fait rien j’aimerais avoir votre avis
-
GazelleRaisonnable16
elle/elle
2jDpjCoucou,
Pour mettre en contexte ma situation, j’ai été placé en famille d’acceuil depuis maintenant plus ou moins 1 an. Et ce, en raison des violences physiques et psychologiques que j’ai subit par mes parents. J’etais vraiment au plus bas lorsque j’etais dans mon ancien chez moi et depuis mon placement, j’ai l’impression que ça va de mieux en mieux meme si c’est toujours difficile. Donc j’etais decidé à y rester jusqu’à mes 18 ans. J’avais enormement d’inquiétude concernant mon souhait de ne plus jamais retourner chez mes parents. J’avais peur qu’on me fasse retourner chez eux puis on m’a promis que la dpj ne forçais pas les enfants à revoir leurs parents si ils ne se sentaient pas pret. J’ai eu un placement d’1 an. Cette année touche à sa fin ce qui veut dire qu’on doit remettre en actualité le placement. J’etais anéantis lorsque qu’on m’a annoncé que la durée du prochain placement etait de 6 mois maximum. C’est si peu 6 mois.. j’ai tenté de negocier mais impossible de bouger la date. Cependant on m’a laissé le choix d’aller devant le tribunale pour convaincre la dpj de me laisser rester jusqu’à mes 18 ans. Mais je n’ai aucune envie de me presenter devant un juge. Je n’ai meme plus de souvenir de ce que mes parents m’ont fait car la depression a consumé ma memoire.. Tout est flou et je n’ai plus cette capacité que j’avais autrefois à m’exprimer avec aisance. Je ne veux pas retourner chez mes parents. Je me sens tellement trahis. On me laisse un choix impossible alors qu’on pretend ne pas me forcer? J’ai l’impression que la fugue reste ma seule option. C’est stupide, decidement, on ne peut jamais faire confiance aux adultes.
-
GrenouilleTolérante10
il/lui·18 ans
3jJe suis supposé faire quoiJ’ai 18 ans et je viens de rompre avec ma première blonde (la relation a duré 1 mois). Écoutez, je l’aimais vraiment pour de vrai. C’était la première fois que l’amour avait cet effet sur moi.Sauf que voilà, maintenant c’est fini. Mais elle et moi, même si on sait que c’est terminé, on reste quand même en bons termes.Le problème, c’est que j’ai comme un gros vide en moi, et je souffre beaucoup. Je pense souvent à elle, et à quel point j’étais heureux avec elle. Je ne sais pas si je devrais prendre du temps pour moi-même. J’ai essayé de me divertir, de passer du temps avec des amis, de me lancer dans des projets, etc., mais je n’arrive pas à passer à autre chose.J’aimerais me rembarquer dans une autre relation, mais au fond, je la trouvais vraiment parfaite pour moi — belle, intelligente, attentionnée. Même avec ses complications, j’étais là pour elle. Et maintenant, j’ai tendance à la comparer aux autres partenaires potentielles, ce qui fait tout sauf m’aider à l’oublier.Donc, avez-vous des trucs, des conseils ou même des messages d’encouragement pour m’aider à surmonter cette période difficile pour moi ? :)
Merci Beaucoup!
-
BiscuitFormidable1
Préfère ne pas répondre
3jComment le direJe ne sais pas comment dire a mes parents que je suis un garçon trans... Je sais que ma mère va m'accompagner dans ma vie malgré qui je suis... Sais pas que j'ai peur de sa réaction mais de celle de mon père... Le problème sais que je ne sais pas comment le dire... Je porte et leur montrer de drapeau trans depuis plus d'une semaine, mais il ne doit sûrement pas faire le lien... J'aurais de besoin d'idées de façon de leur dire sans leur dire, pour qu'il le constater eux même... Afin de ne pas leur dire en face... merci de l'aide...
Réponses
LinAmusé9
Ado TJ·elle/elle·18 ans
Salut :)
J'aimerais vraiment pouvoir te répondre, mais je pense pas avoir les connaissances pour... À ta place, j'aurais vraiment envie de savoir ce que j'ai, alors je trouve ça très compréhensible que tu aies envie d'avoir un autre avis.
Je suis contente de voir que ça va un peu mieux depuis que ton médecin t'a prescrit de l'Abilify :) Je suis allée voir ce que c'est et de ce que j'en ai compris, c'est un antiphsychotique utilisé pour traiter des troubles bipolaires (sautes d'humeur, dépression), la schizophrénie, la dépression, etc.
Je suis loin d'être médecin, mais je trouve ça intéressant quand même. Ça m'a fait penser que tu pourrais poser des questions à ton médecin. Ça lui ferait plaisir de te répondre et de t'expliquer ce qu'il sait, j'en suis certaine. Il s'y connait mieux que moi ;)
Tu n'as fait perdre le temps de personne en publiant ce message et je pense même qu'au contraire, des personnes se sentant comme toi pourraient se sentir validées en le lisant! Je suis sûre que tu n'es pas seul à te demander ce que tu as. Je vais voir le médecin dans deux semaines pour savoir ce que j'ai moi aussi. J'en parle pas tant à mes amies parce que j'ai l'impression qu'elles vont pas comprendre. Ça m'a fait du bien de lire ta publication, ça m'a rappelé que j'étais pas seule.
Je pense qu'au fil du temps, en poursuivant ton suivi avec le médecin, il devrait trouver des mots pour expliquer comment tu te sens. N'aie pas peur de parler de comment tu te sens. C'est super que tu aies l'aide du médecin et j'espère vraiment que ça ira mieux bientôt :) Lâche pas