Comment puis-je vous aider?

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PétuniaAdroite11

elle/elle

8m

Je suis une fille cisgenre, mais j'ai des camarades de classe transgenres, et je vois des personnes trans et non-binaires sur Youtube. Ils m'ont donné une plus grande compassion pour ce groupe de personnes que je n'aurai jamais appris de mes propres parents. Par contre, en voyant de plus en plus d'États limiter les droits de telles personnes, j'ai peur. J'ai peur pour les personnes trans qui vivent dans ces régions et pour ceux au Québec, qui pourrait avoir leurs droits envers leur identité pris d'eux, surtout considérant que ma mère va probablement voter pour quelqu'un qui va justement faire ça. Elle ne se considère pas comme "contre les personnes trans", mais elle a capoté à l'idée que j'utiliserai des pronoms autre que elle/elle, disant que j'aurai été "manipulé par le gouvernement" quand j'ai essayé d'explorer mon identité de genre. Je sais que je n'ai pas le droit d'utiliser de sites de réseaux sociaux sans sa permission à part YouTube, mais elle est abonnée. De plus, je ne peux pas faire de dons puisque je n'ai pas encore 18 ans. Y a-t-il d'autres manières dont je peux aider des personnes de cette communauté sans mettre ma relation avec ma mère en danger?

Réponses

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    BambooCréatif1

    elle/elle

    7m

    Moi, ma soeur aînée est trans, et elle réussit super bien dans la vie. Elle me dit souvent que les gens manquent la forêt pour les arbres sur le sujet des personnes trans, genre au final ça revient aux bases du « savoir-vivre » plutôt qu'un débat sur les nuances de l'identité quoi? D’approcher les étrangers avec un minimum de curiosité avant de juger, de discuter *avec* eux pas non pas *de eux*, etc. Elle trouve que ça aide à désamorcer les préjugés quand elle approche le sujet par cet angle du « c'est pas à propos des personnes trans, c'est à propos de ta propre vertu ». Et par rapport au vote, les gens votent pour toutes sortes de raisons, mais au final le/la député travaille pour *toi*, si on est d’accord sur certains points, mais pas d’accord avec comment la personne traite les personnes qui nous sont chers, on lui écrit, on convainc d’autres personnes de lui écrire, on s’implique dans du bénévolat, bref, il faut apprendre à tenir les gens responsables, car si on le fait pas alors c'est qui qui va le faire?

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    BasilicLogique11

    iel

    7m

    Hey, c’est vraiment gentil de ta part de faire cet effort. Ce n’est vraiment pas tout le monde qui a cette bonté. Merci, vraiment. Je ne sais pas si tu peux vraiment appliquer ce que je vais dire/écrire, mais faire taire les personnes homophobes et transphobes en personnes. Dénonce leurs comportements. Montre aux gens comment c'est inacceptable. Juste de faire comprendre au monde qu'un commentaire ou comportement est haineux peut parfois changer quelque chose, surtout au « public » des commentaires, un peu moins la personne qui les dits/faits, mais on ne sait jamais. Bref, juste inciter les gens autour de toi d’agir sérieusement en présence d'homophobes et de transphobes et de ne pas alimenter leur discours. Quand c'est en ligne, ignore, ne fait rien qui ferait que ton algorithme t'envoie d'autres de leurs vidéos/posts/etc, parce qu’à ma connaissance, ça ne fait que les supporter. Sinon, est-ce qu'il y a un club/groupe 2SLGBTQIA+ à ton école? Ce serait une opportunité de plus directement d’impliquer. Ou un organisme communautaire près de chez toi? Bref, montre que tu supportes la communauté et qu'il n'y a pas de raison de nous marginaliser. J'espère que ça l'aide au moins un minimum…

Dernières publications

Liste de discussions

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    AbeilleServiable13

    elle/il

    22h
    Troubles avec l’école

    Je suis en secondaire deux, mais je suis supposé d’être en trois. Ben bref, j'arrête pas d'être anxieuse ou angoissée lors de mes pensées noirs. J’essaye de parler s’en avec mon pédopsychiatre mais je suis incapable de proprement prendre ses conseils. J’essaye mon maximum mais rendu au présent je me sens incapable. Je suis dans un program qui a besoin de ma présence…mais jsp quoi faire, je me sens incapable.

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    PaprikaSérieux14

    iel·16 ans

    1j
    C'est tu normal? (Idées noires)

    Salut,

    Ça fait un bout que je voulais en parler, mais je n'ai personne de proche. Alors comme dit dans le titre, j'ai des idées noires. Par contre, je ne veux pas nécessairement mourir pour de vrai. La vie est parfois superbe, mais parfois non. Comme normal dans le fond. En plus, je ne comprends pas pourquoi je pense au suicide, car j'ai une bonne famille, je n'ai pas de problème à l'école, etc....

    Bon, jsp si vous pouvez m'aider, mais je voulais écrire pour que d'autres personnes comme moi se sentent moins seuls. :)

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    ThéOrganisé17

    elle/elle·14 ans

    1j
    Est-ce que j'aime mon père ?

    C'est bizarre comme feeling... mais je me demande parfois si j'aime vraiment mon père. J'ai toujours dit à mon père que je l'aimais . Mais, est-ce que je l'aime pour qui il est ou juste parce que c'est mon père et donc je suis comme "obligé". Mon père m'a beaucoup fait souffrir, surtout mentalement. Il me dit que si je m'habille de cette façon je n'aurais pas d'ami, il me jugent beaucoup sur plein de choses ( mes problèmes alimentaires, le fait que j'aime des choses pour les enfants, que j'apporte un toutou à l'extérieur *ESSA* ) . Il est déjà arrivé qu'il me dise des choses très blessants comme " est* d'enfant d'ch*enne de cal*ce " ou même qu'il soit agressif physique ( me donner un claque, me poussé par le cou sur mon lit, me poussé dehors la nuit en pyjamas en hiver *ma mère est venue me chercher* ) Malgré tout ça reste mon père et je peux avoir du plaisir avec lui . Je suis donc confuse surtout après un chicane. Je me demande si j'aime mon père. ( selon moi il n'est pas violent, les événements nommés sont rare )

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    GuitareChanceuse6

    elle/elle

    1j
    La synesthésie

    Allo aujourd’hui avec une de mes amies on a réaliser que jlavais peut-être une sorte de synesthésie. Après avoir faut quelques test on dirait que j’en ai vraiment.

    je pense pas que j’ai besoin de conseil de rien mais ça mlexcite trop jlavais besoin d’en parler