Automutilation
BubbleteaPassionné8
il/lui
Bonjour. Depuis 2020, je m’automutilie. Au départ c’était avec un crayon, puis mes ongles, ouis des ciseaux, puis une lame.
Mais je ne le fait jamais profond parce que je n’aime pas ça, j’ai peur quand je saigne très peu, donc je ne le fais pas profond.
J’ai envie d’en parler à ma travailleuse sociale, car je suis tanner de le garder pour moi, mais j’ai peur qu’elle pense que ma vie sois en danger. (Ma vie n’est PAS en danger.)
Je ne veux PAS mourir, je n’est PAS d’idées suicidaires, j’ai peur de la mort et j’ai beaucoup de choses que j’aime que je ne veux pas perdre (surtout mes amis, ma famille et mes loisirs.)
M’infliger des blessures m’aide simplement à faire face à mes émotions (je suis au courant que ce n’est pas bon.)
Il y a 2 points que je suis venus aborder avec cela:
1- À chaque fois que je le fais je me sens mal de le faire je ne sais pas pourquoi. Ça me fais du bien, mais je me send mal, j’ai peur que ma famille le découvre.
2- Je veux en parler à ma travailleuse sociale, mais j’ai peur qu’elle pense que je suis un danger pour ma sécuriter, malgré le nombre de fois que je dis que je ne le suis pas. Elle pourrais penser que la situation pourrais s’aggraver, mais je ne le fais pas profond et je ne le fais pas souvent.
J’ai peur d’en parler, avez -vous des suggestions?
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VolleybalDynamique7
elle/elle
1jQui choisir? Maman ou papa?Salut, ça fait un bout de temps que j'ai pas écrit sur le forum. je suis un peu dans une situation... difficile. J'ai 13(bientôt 14) et j'ai vécu des choses (trop). Je vois une travailleuse sociale, je bientôt faire des activités avec des victimes d'agressions sexuelles dans un centre...et ect. Maintenant que m'a vie commençait à reprendre le bon chemin, mon père m'a suggéré d'aller vivre chez lui pendant 1 ans ( je le vois une fin de semaine sur deux habituellement et l'été je le vois une semaine sur deux). Il faut savoir que, j'ai pas le meilleur environnement chez ma mère. Ça fait que crier et se chicaner entre tout le monde, surtout entre mon beau père et ma mère. Mon père m'a donc suggéré sa, mais je ne sais vraiment pas quoi dire... J'en ai parler à mon cousin de 20 ans, lui qui a eu pratiquement les mêmes situation que moi, était le mieux placé pour me comprendre. Il m'a dit, et je site...<< Tu devrais dire oui, je préfère que tu vives dans un endroit sain>>. Comme si ma mère était un monstre. Mais le seul monstre dans cette histoire c'est moi. Chez ma mère, c'est toujours moi qui est accusée de tt. Je me fait chicaner tout le temps et on me rappelle souvent mes erreur, comme l'histoire du pédophile disons( voir mes autres publications). Chez mon père, on vois aucun de mes efforts. Je fait toujours plus que demander et c'est toujours pas bien. Je garde 6 enfants, c'est sûr que j'ai pas le temps de toujours tout faire correctement. C'est compliqué et eux...ils me critiquent tt le temps. Je sais pas si je devrais accepté la proposition de mon père. Après tout, il fait sa pour mon bien. Je sais que c'est long à lire tout sa, mais je préfère me confier à vous parce vous vous m'écouter (plutôt vous lisez, mais vous avez compris) contrairement à mes parents, mes problème c'est n'importe quoi et pleurer c'est comme un crime. J'ai vu plusieurs fois ma mère et mon beau père se chicaner... pendant ce temps moi je cachait les yeux et les oreilles de mes frères et sœurs... Je n'avais pas assez de mains pour cacher les miens. J'ai tout vu et entendu...la maison qui tremblait avec les coup dans le mur, la vitre sur la porte qui explose avec les coups de poing de mon beau-père dans la porte. Tout. Les autres, ne le savent pas sa... J'aimerais vraiment que quelqu'un me résonne. Je veux savoir se qui est le mieux pour moi...mais je ne sais pas.
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SésameMinutieux15
elle/elle
1jMes parents se moquent de moiQuand mes amis ont appris que j’avais un trouble psychologique, ils m’ont intimidé. Ils étaient violents verbalement, physiquement et psychologiquement pendant plusieurs années.
J’ai eux une chicane avec mes parents car ils insistent pour fêter ma fête alors que j’en ai horreur. Mon anniversaire était le jour ou mes amis m’intimidaient le plus, ils convainquaient mes autres amis de m’intimider ou de me fuir.
Mes parents disent que j’exagère. Ils se moquent de moi et disent que je dramatise quand j’en parle a d’autres personnes. Ma mère me traite de niaiseuse et de faible pour laisser mes amis me gâcher la vie aux point de m’isoler et de ne pas fêter ma fête.
Peut être que c’est vrai que je dramatise, je ne sais plus, mais comment je le décris, c’est comment je l’ai ressenti. Ils ne le comprennent pas et continuent à me forcer de fêter ma fête.
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VolleybalCharmeur13
elle/il
1jJ’ai mal, mais je me tais depuis trop longtempsJe ne sais pas vraiment par où commencer, parce que ce que je vis me dépasse. J’ai l’impression de porter un poids que personne ne voit. Je me suis déjà automutilée. Pour faire taire ce qui hurlait en dedans. Pour sentir quelque chose, n’importe quoi, quand tout devenait trop lourd. J’ai déjà voulu en finir. J’ai fait des tentatives de suicide. Pas pour attirer l’attention, mais parce que je ne voyais plus d’issue. Parce que la douleur était trop grande, trop constante. J’ai perdu des amis. Peut-être parce qu’ils ne comprenaient pas, peut-être parce que je me suis enfermée dans ma souffrance. Ou peut-être parce que je ne savais plus comment être "normale". J’ai connu l’amour, ou du moins ce que je pensais être de l’amour. Mais c’était toxique. J’ai été brisée dans des relations où je me suis effacée, où je croyais que je méritais d’être mal aimée. J’ai vécu une agression sexuelle. Un moment qui m’a marquée à vie, que j’essaie encore de comprendre, de guérir. J’ai été placée dans une famille qui n’était pas la mienne. Arrachée à mes repères, comme si j’étais un problème à régler plutôt qu’une personne à aider. J’ai connu la violence conjugale. La peur dans le quotidien. Les mots qui frappent. Les gestes qui blessent. La sensation que ma voix ne comptait pas. Je vis avec la dépression. Cette noirceur qui revient sans prévenir. Qui me fait croire que je ne vaux rien. Que je dérange. Que je suis de trop. Et surtout… je me sens à l’écart. Comme si je n’avais pas de place. Comme si je ne faisais pas partie du monde qui m’entoure. Mais aujourd’hui, j’écris tout ça pour une raison : je veux être entendue. Je veux arrêter de me cacher. Je veux trouver de l’aide. Je veux croire que malgré tout ce que j’ai vécu, je peux encore me reconstruire.
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SushisAudacieuse3
elle/elle
2jCoup de foudre amicaleJe suis une fille qui s'attache très rapidement. Et c'est d'ailleurs ce qui c'est passer avec une fille un peu plus vielle que moi.
Je ne lui est parler qu'une fois. Une seule. On lisait les mêmes livres, on avait les mêmes délires et cette fille avait un charisme et une confiance incroyable bref j'étais complètement fan. Puis, je l'ai plus revue pendant un ans jusqu'à ce qu'une de mes amies m'anonce que cette fille était la nouvelle blonde de sa soeur.
Là, j'étais aux anges !! Une autre amie l'a invité pour nos traditionnels "Party de fin d'année" c'était parfait ! On a parler et tout.
On c'est même dit qu'on allait écouter Gossip Girl ensemble !!
Juste...J'ai l'impression que c'est trop beau. Vous voyez le feeling ? J'ai l'impression que je vais faire une gaffe et que tout vas être finit !
Je ne suis pas amoureuse d'elle. Mais je l'aime tellement alors que je ne l'ai presque jamais vue.
Réponses
SoleilSportive11
Ado TJ·elle/elle·19 ans
Salut @BubbleteaPassionné8 🧋
Merci d’être venue en parler ici. Je comprends que ce soit pas évident d’en parler avec la travailleuse sociale parce qu’elle pourrait penser que c’est plus grave que ce que tu dis… :/
Pour réitérer ce que tu as dit, l’automutilation est souvent une façon adoptée pour faire face à des émotions auxquelles on veut pas vraiment faire face, des émotions qui sont difficiles à gérer parfois et même lourdes.
Je crois qu’on est sur la même longueur d’ondes en ce qui d’en parler avec la travailleuse sociale, donc je ne vais pas plus insister; tu sembles bien informée sur ce qui est mieux à choisir comme solution et démarche ;)
Pour ce qui est de la manière de l’aborder, je te dirais que ce serait peut-être une bonne idée d’essayer de converser avec ta TS de ton passé lointain/proche, des moments où tu as ressenti plus d’émotions lourdes et qui te pèsent sur le coeur encore aujourd’hui. Je ne garantis pas qu’une conversation réglera le tout, mais je crois qu’en abordant plus la douleur interne, tu pourras peut-être sentir qu’un poids s’enlève de tes épaules et peut-être que tu arrêteras graduellement de te scarifier.
Si la situation ne s’améliore pas ou même s’aggrave, je te conseillerais fortement de parler directement du sujet avec ta TS, peu importe la réaction qu’elle pourrait avoir… Je sais que c’est plus facile à écrire qu’à faire, mais parfois, un.e professionnel.le peut remarquer certaines choses que tu ne remarques moins :)
Donc, je t’encourage à lui faire confiance; je suis sure que ta TS veut le meilleur pour toi et qu’elle ne cherchera pas à trouver un problème là où il n’y en a pas vraiment. Elle est formée pour t’aider d’une manière objective et neutre et si tu ne veux pas que ta famille le sache tout de suite (et si ta vie n’est pas en danger immédiat), je crois que tu peux lui faire confiance pour pouvoir trouver une démarche à suivre ensemble pour arrêter l’automutilation.
J’espère avoir pu aider,
N’hésite pas s’il y a de quoi; on sera là 💛
Note: si tu trouves que ce serait plus simple de lui écrire une lettre qu’elle lira à votre prochaine rencontre, par exemple, je t’encourage à écrire :)