Comment on appelle ça

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LentilleSociable12

il/lui·20 ans

3a

Je me défini pas vraiment comme un gars ni comme une fille mais je trouve ça inutile de faire un coming out puisque ça change pas grand chose à par le fait que je me fous un peu des pronoms qu'on utilisé pour me genrer y'a tu juste moi qui se sent comme ça?

Réponses

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    CamomilleRassurant4

    elle/elle

    3a

    Moi aussi!!!

    Tu n'es pas le seul :)

    Je ne me définis pas comme mon genre (je suis biologiquement fille) tout en acceptant bien mon sexe.

    Je m'en fous de si je suis une fille, un gars ou autre. Si j'étais né gars, j'accepterais probablement très bien cette identité. Si un jour je voulais devenir, par exemple, un gars, ce serait purement pour le statut social, un bien matériel ou un facteur uniquement extérieur.

    Mon identité interne est plutôt détaché de mon apparence; je ne vois pas comment à quoi a l'air mon corps fera en sorte que je ne suis plus moi, qu'il y aura drastiquement un changement au niveau fondamental du Moi.

    Comme ce ne me dérange pas d'être fille ou gars, ce ne me dérange pas non plus qu'une autre personne choisisse de changer de genre. J'ai donc l'air aussi supportive qu'indifférente envers la transidentité : Fais ce que tu veux en autant que tu te sentes bien. <3 Tu as besoin que j'utilise un autre pronom? Parfait, ça me fait plaisir! ;)

    En même temps, parfois, je me sens mal pour cette froideur. Même si j'encourage et je suis pour la liberté des LGBTQ+, je me sens mal de me sentir déconcernée; je me sens mal d'être presque incapable d'éprouver de la compassion pour eux qui sont condamnés par une erreur de la nature. J'ai l'impression d'être hypocrite et fausse dans mes soutiens envers eux; j'aimerais qu'ils ne savent que je fais fi de leur genre, je n'ose donc jamais m'exprimer sur ce sujet dans la « vraie » vie.

    Je ne sais pas si c'est que tu veux dire par le fait que tu te fous un peu des pronoms, mais dans tous sens de ta question, je peux te répondre que non, il y au moins moi qui partage avec toi ce sentiment.

    Par ailleurs, pour répondre à la question dans ton titre, j'ai fait une recherche sur la « non-définition d'un genre », et j'ai trouvé « agenre » :

    Identité de genre des personnes qui ne se définissent dans aucun genre. Les personnes agenres rejettent entièrement ou partiellement l’idée même du genre et ressentent une absence totale ou partielle de genre. Il se rapproche du genre neutre, ou d'un troisième genre (ni masculin, ni féminin).

    Si tu es agenre, tu n'es pas seul non plus, même si je ne me définis pas trop comme agenre parce que féminin et masculin existent visblement sous forme biologique.

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    LoutreAventureuse9

    elle/elle

    3a

    Allô,


    C'est certain que tu n'es pas le seul à te sentir comme ça.

    Il n'y a pas de raisin de faire une annonce pour cela. Juste être qui tu es et ce sera parfait. Il y a 1000 façons d'être un gars, comme il y a 1000 façons d'être une fille. Tu n'as pas à te mettre une étiquettes. Il y a comme une mode que ça presse de se mettre une etiquette, mais il n'y a tellement rien qui presse et il n'est pas nécessaire que cette etiquette arrive.

Dernières publications

Liste de discussions

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    HalloumiTenace6

    il/lui

    1j
    Ca compte ou pas

    Je voulais juste savoir qu’est ce qui comptait pour que ça soit une relation sexuelle. Est ce que c’est obligé d’etre une pénétration ou des preli comme moi qui doigte une fille et elle qui me masturbe ça compte?

    merci

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    BasketballAdorable10

    elle/elle·15 ans

    1j
    Pouvez-vous m'aider

    Je pense avoir un trouble alimentaire mais je ne suis pas sur. J'ai énormément de mal à manger depuis que je suis en 4em année du primaire. Mes parents savent que je ne mange pas énormément mais ne savent pas que je complexe sur mon corps. Je sais pas si je dois leur parler de mes craintes à propos du TA que je crois avoir. Est-ce que vous avez des suggestions à me faire.

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    PoutineContente9

    elle/elle·15 ans

    2j
    Pas de vrais amies

    Depuis que je suis au secondaire, ma meilleure amie et moi étions super proche, au point où toute ma vie tourne autour d'elle. C'est probablement moi qui est trop intense, mais je l'aime tellement, je ferais n'importe quoi pour elle.

    Cette année on est dans aucun cours ensemble sauf un. Elle s'est trouvé une nouvelle gang, avec des filles super populaires, belles, drôles, etc... Et elle ne me parle plus. Depuis, je suis prise pour me tenir avec mon ancienne gang, où je déteste toutes les filles. Vraiment je ne me sens pas bien avec elles.

    Le pire, c'est que je ne peux même pas essayer de rentrer dans la même gang qu'elle, elles m'ignorent toutes, même mon amie. En fait elle n'ignore totalement depuis quelques semaines. Je lui au donné de l'air, mais je ne sais plus quoi faire.

    Ma mère dit que c'est elle qui est immature et qu'elle est une mauvaise amie. Ok, mais je fais quoi maintenant? Si j'essaye de la confronter, elle va juste dire que c'est dans ma tête et je vais passer pour la folle qui ne la laisse pas avoir d'autres amies. Maintenant, je n'ai pas de vrais amies, juste des gens avec qui manger le midi.

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    AbeilleServiable13

    elle/il

    2j
    Troubles avec l’école

    Je suis en secondaire deux, mais je suis supposé d’être en trois. Ben bref, j'arrête pas d'être anxieuse ou angoissée lors de mes pensées noirs. J’essaye de parler s’en avec mon pédopsychiatre mais je suis incapable de proprement prendre ses conseils. J’essaye mon maximum mais rendu au présent je me sens incapable. Je suis dans un program qui a besoin de ma présence…mais jsp quoi faire, je me sens incapable.