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    NuageIntéressante13

    il/lui·20 ans

    1a

    Mon cœur se serre quand quelque chose me contrarie

    Salut TJ,

    Je suis quelqu'un de susceptible, mais sans le côté toxique. Je me fâche pas contre la personne, mais je me remet plus en question qu'autre chose en gros jusqu'à commencer à paniquer intérieurement. À chaque fois qu'il y a quelque chose qui est dit contre moi (une insulte sur mon physique, une remarque sur moi moi même), mon cœur se serre. J'ai une sorte de douleur qui dure une à deux secondes.

    Une manière de se débarrasser de ça? Ou bien est-ce que c'est normal?

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    NuageIntéressante13

    il/lui·20 ans

    1a

    Quand je pense à mon « crush », j'ai vraiment mal au coeur?

    Comme l'annonce le titre: Quand je pense à mon « crush », j'ai vraiment mal au coeur. Je dis « crush », parce que j'aime tous les garçons, donc c'est un peu bizarre de parler de crush pour mon cas.

    Disons plutôt: Le garçon avec qui j'ai eu un très gros rapprochement et qui est tout le temps à ma portée!

    Donc, pour en revenir, j'ai vraiment un mal de cœur quand je pense à lui ou bien à des trucs qui le concernent. On a eu des interactions quand même intimes à un moment donné et je pense que c'est à cause de ça. On aurait dit un cliché, mais c'est pas une joke! Je sens littéralement mon cœur "me lâcher" quand ça m'arrive.

    Des idées de pourquoi c'est comme ça? Je trouve ça vraiment bizarre.

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    NuageIntéressante13

    il/lui·20 ans

    1a

    Je « stress » quand je dis aurevoir à des inconnus?

    Parfois, je rencontre des personnes que j'admire personnellement. Du genre à adorer leurs vêtements ou bien leurs façons de parler. J'ai toujours trouvé ça dommage qu'en société, on doive justement faire amplement connaissance avec quelqu'un pour démarrer une relation amicale ou juste garder en contact la personne.

    Ducoup, ça m'handicap franchement! En gros, je développe une sorte de stress et y a justement cette voix dans ma tête qui me dit « Pourquoi n'as-tu pas chercher à mieux connaître cette personne ? », ou bien même: « Pourquoi es-tu si complexé et gêné de continuer à converser avec cette personne ».

    Des solutions pour me rassurer face à ça?

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    NuageIntéressante13

    il/lui·20 ans

    1a

    J'ai pu le goût à rien

    Depuis tout petit, j'adorais juste faire n'importe quoi. Au cours du temps j'ai développé des passe-temps. Durant le primaire il y avait certains romans "adultes" qui m'intéressaient et je lisais des tomes entiers sans m'arrêter. Puis je découvris les jeux vidéos et je suis ainsi devenu fou de ces derniers. Je prenais un réel plaisir à jouer autant avec des amis que des inconnus. Le principal c'était que je jouais et en étant à l'école j'avais hâte de retourner à la maison pour finalement pouvoir retourner sur cet ordinateur. Le secondaire passe et je commence à de plus en plus perdre ce plaisir. La lecture ne m'intéressait plus. Maintenant, à ma première session de cégep je me rend compte que j'ai vraiment aucun passe-temps. Je m'oblige parfois à aller parler à des amis ou tout simplement jouer à des jeux, mais je n'ai vraiment aucun plaisir. Tout ce que je trouve à faire c'est aller dans mon lit pour soit: Dormir ou écouter de la musique.

    Y aurait pas un moyen que je finisse pas mes jours à juste m'ennuyer indéfiniment? Faudrait-il que je consulte un professionnel pour mon « manque de goût » sur tout? Je me trouve quand même misérable à juste grignoter et m'affaler sur mon lit.

    Je sais que la façon de répondre à ce post serait: « Trouve toi d'autres passions, dessine, tricote et blah blah blah ». J'ai essayé de m'y intéresser, mais je suis juste pas capable. Enfin bref, c'était plus une rant qu'autre chose.

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    NuageIntéressante13

    il/lui·20 ans

    2a

    J'aime tous les garçons

    Bonsoir, bonsoir!

    Je suis quelqu'un de très ouvert niveau relation. Disons que si mon chum embrasse un autre garçon ça me dérangera pas pour autant: Je ne veux que son bonheur. D'ailleurs j'ai toujours dis que j'aimais tous les garçons et que je n'avais pas de préférence, mais cela fait-il de moi une mauvaise personne? Le fait de ne pas prioriser un garçon et de juste prendre celui qui se montre le plus opportun à avoir une relation avec moi est normal ou bien juste immoral?
    Je me le demande parce que dans mon cercle d'amis/entourage personne est comme ça.
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    NuageIntéressante13

    il/lui·20 ans

    1a

    C'est juste injuste

    Hier soir je revenais d'une soirée entre amis via le métro (Ligne Orange) et en attendant sur le quai et je remarque une femme et un chien. La femme a une pancarte écrit dessus « Anything would help » avec deux journaux dont un contenant une carte des lignes de la STM. Lorsque la voiture (navette de métro si vous préférez) arrive enfin, elle prendre la laisse de son chien et on découvre tous qu'il manque une patte à ce chien. Il s'est d'ailleurs un peu excité à l'arrivée de la voiture, mais elle a su le calmer très rapidement. En rentrant je remarque que tout le monde l'évitait et j'ai volontairement décidé de m'asseoir à côté d'elle, sur le banc qui était en parallèle à elle. Son chien, se cache sous deux bancs et elle consulte ses trajets. À un moment donné, elle tourne sa tête, regarde vers ma position et tous les deux on sourit. Mon sourire était un sourire de solidarité et le sien était probablement un signe qu'elle avait encore de l'humanité en elle. Plus le temps passe et plus elle est fatiguée. Je remarque soudain qu'elle dort sur place et elle échappera même une fois ses deux papiers puisqu'elle n'est pas capable de vaincre son énorme fatigue. Pendant ce temps là je textais une amie pour savoir si je devais faire quelque chose. Cette vue me rendait tellement triste en fait, car elle me faisait penser à quelqu'un que je connaissais et je voulais vraiment juste aller la voir et l'aider. Finalement ce qu'il s'est passé c'est qu'elle est descendu sur un quai différent du mien et je l'ai plus jamais revu. Je me suis senti tellement mal qu'en rentrant chez moi, j'ai juste mis de la bouffe sèche dans mon sac, une bouteille d'eau et je suis retourné pour la chercher. Malheureusement (?), j'ai perdu complètement sa trace, car son quai donnait sur la Ligne Verte et elle pourrait être dans n'importe quelle station de la Ligne Verte. Maintenant ce que je souhaite dire c'est: Pourquoi devraient ils (les itinérants) encore exister? Pourquoi Montréal n'a toujours pas trouvé une quelconque solution face à ça? Je veux dire, on est en 2022 et on peut faire tellement de choses pour eux. Moi personnellement je ne vais pas pouvoir revivre une journée sans penser à elle, me demander si elle a survécu ou non depuis. Que va t-il se passer en hiver? Son chien va t-il se retrouver sans maître et finalement tué par un quelconque véhicule? Y aurait-il pas des programmes qui pourraient aider à mieux les rediriger? Ou bien est-ce que c'est moi qui était trop fou hier soir pour avoir autant de compassion pour un cas pareil? Je sais juste que ma boussole est toute déréglée et ça me rend vraiment misérable.

    Si vous trouvez une femme avec un sac de randonnée, des tattoo sur les bras, un fishnet et un chien à trois pattes, offrez lui votre aide et prévenez moi

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    NuageIntéressante13

    il/lui·20 ans

    2a

    Ma résistance psychologique est en porcelaine

    Rebonjour TJ!

    J'aurai besoin cette fois de conseils concernant mon sentiment d'insécurité constant! J'ai remarqué depuis quelques temps que le moindre commentaire pouvait accélérer mon rythme cardiaque à vitesse V. Pire encore: Je ne dors pas, car j'ai l'impression d'avoir fait du mal à quelqu'un ou bien parce que je soupçonne quelqu'un de m'haïr.
    N'y aurait-il pas un moyen de me calmer? Me parler à moi même n'aide pas du tout, ça ne fait que créer d'autres scénarios dans ma tête.
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    NuageIntéressante13

    il/lui·20 ans

    1a

    Quand mon père m'a fait vomir 7 fois

    Donc j'aimerais pouvoir partager un événement qui s'est passé en avril, car dernièrement il me hante à chaque soirs.

    Durant une soirée j'avais enfin décidé d'annoncer à mon père que je n'étais pas croyant. Je l'avais dit à ma mère plus tôt. Le moment où je fais face à mon père il réagit très mal et commence à me crier dessus, m'obligeant à aller faire mes ablutions (rituel consistant à se purifier en se nettoyant de la tête aux pieds avant d'aller faire une prière). Il avait une expression terrifiante sur son visage et il ma suivit jusqu'au toilettes pour être sur que je la fasse. Par la suite il m'emmène au salon et m'oblige à prier à ses côtés. Je vivais le moment le plus dégueulasse de ma vie. Je tremblais littéralement à ses côtés. Par la suite on dîne et il me fait très bien comprendre que ça n'allait plus jamais être comme avant. J'allais être son seul ami à présent et je n'avais plus besoin de voir les autres. Après avoir finis de manger je m'en vais au toilettes et commence réellement à paniquer. J'avais texté mon ami auparavant pour la prévenir de me chercher au cas où ça tourne mal. C'est là que je me sens stupide et me dit que c'est impossible que je sorte car si mon père me rattrape je n'aurais plus le droit de sortir et risque de passer la plus longue soirée de toute ma vie. Je lui texte d'attendre et retourne au salon où mon père m'attend. Il répète la même chose qu'au dîner et ma mère nous regarde. J'étais tellement enragé envers ma mère de juste laisser tout se dérouler alors que ça se voyait pas mal que mon père me terrifiait. Et là je fais juste tout lâcher. Je me brise littéralement. J'arrive plus à respirer et hyperventile. Mes parents m'amènent dans ma chambre et je demande à appeler mon amie. Après 5 ans bloqué dans un environement malsain qu'est le cocon familial où je suis, mon cerveau a juste décidé de tout faire tomber cette soirée. Ça ma pris pas mal de temps pour juste dégager de chez moi. Mon père, vu qu'il avait compris dans quelle marde y s'était mis puisqu'il faisait souffrir son fils en le privant indirectement de sa respiration, décidera de me faire un tour de voiture pour me calmer. Deuxième pire moment de ma vie. Je faisais juste crier, pleurer et demander de me laissser tranquille, car j'étais bloqué dans un véhicule en mouvement avec la personne que j'haïssais et qui me terrifiait le plus à ce moment. En revenant chez nous ils se décideront enfin d'aller me porter chez mon amie, mais mobligeront à boire une de leurs horrible tisane pour encore une nouvelle foiss me calmer. Évidemment si je voulais qu'ils me laissent tranquille, il fallait que je fasse semblant de ne pas avoir perdu toute leur confiance. C'est pendant le trajet que je vais déjà commencer par vomir trois fois par la fenêtre. Les 4 autres fois ce sera dans les toilettes de mon amie. J'ai pu dormir chez elle mais j'étais tellement terrifié. Le pire dans tout ça c'est que le lendemain ma mère a qualifié ça de malaise. Ce soir j'arrive pas à dormir, parce que je me souviens du ton de mon père et ça me hante littéralement sachant que même la DPJ a considéré mon cas de non urgent. Je me sens tellement délaissé par le système et juste tout le monde. Je suis encore bloqué avec des parents qui pensent me donner foi en la religion et ne voulant jamais changer et ça me rend vraiment misérable intérieurement.

    En tout cas, je voulais le partager en espérant que ça m'aide à dormir. J'ai vraiment hâte de juste avoir assez d'argent et ne plus jamais les voir.

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    NuageIntéressante13

    il/lui·20 ans

    1a

    Mon cœur bat lorsque je pense avoir contrarié une personne en particulier!

    Re-re-rebonjour Teljeunes!

    Depuis deux ans j'essaye de faire une vraiment bonne impression sur quelqu'un de vraiment reclus dans mon groupe d'amis. En fait c'est la personne la plus silencieuse et la plus adulée. Elle dérange personne et ducoup c'est ce qui la rend si "unique". À cause de ça, à chaque fois que je pense l'avoir contrarié, mon cœur bat vraiment vite et je me sens hyper mal.

    Je me suis tellement attaché que ça me touche physiquement. On pourrait même dire que j'ai des palpitations émotionnelles!

    Donc de 1: Y aurait-il un moyen de me calmer/ralentir les battements de mon cœur que ça arrive?

    Et de 2: Comment faire pour me détacher complètement de ça? J'aimerais que mon image ne dépende plus de cette personne et souhaiterait tout simplement ne plus faire attention à elle.

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    NuageIntéressante13

    il/lui·20 ans

    1a

    Égoïsme passif agressif

    Bonjour TJ,

    Ça va vraiment avoir l'air enfantin, mais pas grave! Depuis le début de l'année je passe tout à mes amis qui sont dans le besoin: Collations, mouchoirs, chewing-gum et tout pour se sentir à l'aise. Cependant, ces derniers temps, je me rend compte à quel point je suis vraiment le seul qui fait ça. Quand j'avais besoin d'un mouchoir, on me dit qu'on aimerait pas que je les gaspille. Quand je voudrais une moitié de barre au chocolat qu'un ami nous a passé, on m'en donne que le 1/3 pour aucune raison. Le pire dans tout ça, c'est que plusieurs de mes amis se partagent des choses entre eux, mais je suis tout le temps la personne marginalisée. Je sais que la plupart du temps c'est moi qui m'impose lorsque vient le temps de partager mes propres choses (je suis aussi quelqu'un de très altruiste), mais pourquoi donner plus d'intérêt à quelqu'un qui n'a jamais rendu une fois un seul service? Le pire c'est qu'on essaye de me "gaslight" en me disant: « Oh mais tu sais la dernière fois je t'ai acheté une peluche. » Cette même peluche est incomparable face au nombre de bouffe que j'ai pu fournir à cette personne. Si c'est une question d'argent alors est-ce qu'on va juste commencer à calculer précisément combien coûtent nos services? (Encore là, c'est une fause causalité!)

    C'est la fin de l'année et j'ai vraiment hâte de quitter ce groupe d'ami. C'est assez radical, mais c'est pas juste à cause de ce que je qualifie d'« égoïsme passif agressif ». Y a plein de choses qui nous différencient et j'ai juste l'impression d'être un gros bouche trou. Enfin bref, c'était plus (+) une confession en l'air qu'une demande de conseils.

    Ce serait intéressant par contre de savoir si il y a des personnes qui ont aussi cette petite rage intérieur!

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    NuageIntéressante13

    il/lui·20 ans

    1a

    Je me sens comme vide par moments

    À chaque jours, il y a toujours un moment où je suis vraiment mal à l'aise. C'est un inconfort mélangé à du désespoir? Je sais pas trop comment expliquer, mais j'ai juste plus de motivation.
    Je pense que dans ces moments je deviens affreusement insatisfait de la vie. Je suis passé à travers de nombreuses situations qu'un adolescent lambda n'aurait pas à subir et je crois que ça m'a rendu amorphe psychologiquement.
    Il y aurait pas un moyen de m'accomoder pour que l'effet se dissipe?
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    NuageIntéressante13

    il/lui·20 ans

    2a

    Mes parents sont des musulmans hyper susceptibles qui sont bloqué dans une époque révolue [857 mots]

    Allo TJ, encore moi!

    Mes parents sont des musulmans hyper susceptibles qui sont bloqué dans une époque révolue.

    Pour commencer, je tiens à dire que je n'ai JAMAIS été croyant. Fun fact: Déjà tout petit je remettais en question la présence du "Paradis".
    Pour une raison que j'ignore, mes parents n'ont pas réussi à m'apprendre l'arabe et cela fait en sorte que je ne comprend aucun mot ayant rapport avec la religion. De plus, ils m'imposent la prière seulement au Ramadan et encore là, c'est totalement ridicule. Tout ce que je fais c'est suivre les gestes de mon père et rester silencieux.
    Donc déjà la religion c'est quelque chose qui m'irrite. Depuis plusieurs années j'entend les versets du Coran dans la maison et aussi dans la voiture. Je ne comprend rien du tout et ça fait juste se transformer en bourdonnement agaçant. Imaginez juste: Entendre un muezzin réciter sans arrêts des phrases dont la signification vous est inconnue. Et évidemment je n'ai aucun mot à dire là-dessus puisque je suis apparemment automatiquement aussi musulman. Mettre en doute la religion dans ma famille c'est accueillir une troisième guerre mondiale. Éducaloi dit que les parents ont le droit de transmettre leurs croyances à leurs enfants, mais pas de l'imposer.
    • Ma première question est: Ai-je le droit de refuser ces croyances religieuses avec raison? Dans le sens où si mes parents ne sont pas en accord avec mon avis sur la religion, je peux avoir recourir à un service qui pourrait m'aider dans ma démarche afin de ne plus être oppressé pour prier?

    Deuxièmement, mes parents sont H Y P E R susceptibles. Cette fois, mettez vous en tête une troupe de 30 "Karen" qui """argumentent""" entre elles. Ils ont toujours raison et on doit faire EXTRÊMEMENT attention aux mots qu'on utilise. Si je dis « Oh my god », mes parents vont juste dire « Dieu n'a rien à faire dans cette situation ». Ou bien si je dis « Je vais pas mourir », mes parents vont riposter « Mon dieu, la mort, ça a pas rapport et c'est trop violent ». (On s'entend ils disent pas ça mot pour mot, mais ça y ressemble.) De plus ils ont un sérieux problème avec l'intimité et les droits de leurs enfant. Disons que si l'école/un hôpital demande mon consentement ils pètent une crise. Ils vous sortent le « Mais c'est notre fils » et les « Il habite chez nous et on le nourri, ça va de soi qu'on est prioritaire face à ça ». (Encore une fois, pas mot pour mot.) Donc ça fait en sorte que j'évite tout contact visuel avec eux et m'enferme la plupart du temps dans ma chambre, car je sais que démarrer une discussion avec eux c'est juste baisser leurs estime à mon égard.
    • Ma deuxième question est: Y aurait-il un moyen d'engager une discussion avec eux et leur faire comprendre clairement que ce comportement m'agace et qu'ils pourraient faire un effort pour changer?

    Troisièmement et finalement mes parents sont bloqué dans le passé. Ça va paraître cliché, mais c'est littéralement le cas de « On souhaite que notre fils devienne médecin, ait une femme, des enfants et leur transmette à tous la religion musulmane ». Le petit hic ici c'est qu'ils ne peuvent pas s'enlever cette morale car ils auraient apparemment "Tout abandonné en Algérie pour venir nous faire étudier moi et mon frère au Québec pour avoir de bonnes conditions de vie". Il est très vrai que logiquement, si tu as tous les outils en main, lance toi dans les études et fait le plus de choses possible, car plusieurs autres personnes n'ont pas cette chance. Sauf que l'affaire c'est que déjà de 1: Je veux devenir secrétaire, et de 2: Je suis nul dans plusieurs matières à l'école et est très lent dans son avancée scolaire. L'université et le cégep ne m'intéressent PAS DU TOUT et même que j'ai envie de faire plusieurs petites carrières qui n'auront pas la meilleure paye, mais qui vont me garantir une vie plus attrayante. J'ai dis que je voulais devenir secrétaire, mais aussi boulanger & coiffeur.
    • Ma troisième question est: Ai-je raison de ne pas incarner l'enfant parfait qu'ils avaient tant voulu? Dois-je faire des efforts pour accomplir au moins un de leurs souhait afin de rendre leur immigration sensée?

    En guise de conclusion je vous présente le gouffre qui me sépare de mes parents. Je suis un homosexuel de 17 ans très ouvert d'esprit qui écoute du métal, qui adore les vêtements et qui a un TDA (sans hyperactivité). Mes parents sont des religieux très orgueilleux & conservateurs (pas dans le sens politique lol) qui pratiquent l'homéopathie et suivent une tonne de groupe conspirationnistes.
    Je souhaite vivre en colocation, aller au professionnel et ne pas me marier/avoir des enfants. Mes parents souhaitent que je reste chez eux jusqu'à ce que j'ai un emploi (qui gagne beaucoup) et que je sois revenu à la maison avec une arabe prête à fonder une famille.
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    NuageIntéressante13

    il/lui·20 ans

    2a

    Mes parents me refusent la vaccination

    Depuis le début de la COVID mes parents me refusent la vaccination et ça fait juste me limiter dans mes choix. Par exemple, parfois j'ai pas le droit d'aller voir des amis car je suis plus vulnérable si l'un deux à la COVID. Ou encore, je peux pas aller à des endroits spécifiques avec eux.
    Je veux me faire vacciner, mais je sais que si ils le découvrent ils seront fou de rage. Une idée de ce que je peux faire? (Oui je sais que la vaccination n'est pas obligatoire et qu'on peut vivre sans, mais moi ça marche juste pas).