Comment on appelle ça
LentilleSociable12
il/lui·20 ans
Je me défini pas vraiment comme un gars ni comme une fille mais je trouve ça inutile de faire un coming out puisque ça change pas grand chose à par le fait que je me fous un peu des pronoms qu'on utilisé pour me genrer y'a tu juste moi qui se sent comme ça?
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ChienJudicieuse12
elle/elle·14 ans
1jEst-ce que c'est normal?En gros, ma mère a eu un bonus et elle me l'a dit. Donc j'ai dit: "ok, nice". Mais là elle me parlait sans cesse de ça. Moi, ça ne m'intéressait pas, combien qu'elle gagne de plus, parce que j'ai QUATORZE ans. J'ai donc un peu essayé de changer le sujet. Déjà qu'elle me casse la gueule avec les histoires sexistes depuis qu'elle a divorcé mon père ("les hommes sont tous des tricheurs") et combien elle me dit de le détester (elle ne dit pas ça comme ça, mais vous comprenez que c'est ce qu'elle *veut* dire). OK donc là elle est fâchée que je l'aie pas assez félicitée pour son bonus et s'est mise à crier sur moi ("Tu m'ignores, tu es une ingrateful brat, je ne partagerai plus rien avec toi...")... Est-ce que ça arrive dans vos familles ou c'est juste moi?
Aussi, vous comprendrez: ma mère, elle, parle tellement des sujets qui l'intéressent (makeup, gym, "comment être riche", des "conseils" pour des relations (toxiques, à mon avis), etc.), des trucs que je n'ai aucun intérêt dedans.
Avec mon père, c'est pire.
Mon père, quant à lui, m'ignore tout le temps à part quand vient le temps de me chicaner ou chicaner mon chien. Depuis que j'étais petite, je lui montrais un truc et il regardait et il est comme "ok" (genre le "je m'en fous" de "ok"). Le seul temps qu'on peut avoir une conversation normale, c'est quand on parle de soccer. Sinon, c'est un raciste et quelqu'un qui justifie frapper les enfants et les animaux domestiques. Et puis, disons que nos valeurs politiques ne sont pas alignées. Il traite aussi tout le monde de "malade mental". En tout cas, j'ai pas vraiment de relation avec lui.
Les deux parents veulent que je les écoute. Les deux se fâchent l'un contre l'autre ou contre moi, se balancent toutes les insultes du monde, mais dès que je dis quelque chose, c'est MA faute comme si VOUS ne m'avez pas influencé...
Aussi, j'ai juste hâte d'avoir 18 ans et de quitter, mais je suis nulle en cuisine et je ne sais pas si ce sera possible avec l'inflation. Je n'ai aucun adulte de confiance: mes parents sont LES PLUS CHILL de toute ma famille: au moins, je n'ai plus de contact avec ma famille élargie, tous sont dans mon pays natal. Je n'ai pas de frère ni de sœur. Il n'y a pas de psychologue ni de TES dans mon école, et la dernière fois que j'étais envoyée aux TES à l'école primaire en troisième année, mes parents ont ragé leur vie sur moi donc ouais.
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ÉrablePassionné7
il/lui·15 ans
2jMa (blonde)Mon amie et moi, on se connais depuis le primaire, on a commencé en 4eme à essayer de se toucher, et on sait perdu de vu. Mtn que je suis en sec2, on a commencé à se reparler et ON veut ken. Ça fait un an qu'on chat sur snap et à la toujours pas fait parce qu'on trouve pas le bon moment. Suis-je le seul?
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ÉrablePassionné7
il/lui·15 ans
2jJugez moi pasDepuis que je suis jeune je suis en quête de sensations sexuelle, et depuis peu, j'ai de plus en plus besoins de me masturber. Si vous avez le droit de me donner des trucs à essayer, je suis preneur...
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ChatLoyal8
elle/elle·15 ans
2jTemps d’écranSalut, j’espère que vous allez bien.
J’ai beaucoup de misère à gérer mon temps d’écran et genre chaque fois que je prends mon téléphone/ ma tablette genre pour faire une recherche ou répondre à un message après je me mets à juste regarder des trucs ou lire des trucs sur tout et n’importe même si en réalité je m’en fiche complètement. C’est juste que j’arrive pas à m’en empêcher et après je sens que je perds mon temps et ça réduit mon temps pour faire des activités que j’aime et après je me sens super mal donc j’aimerais réussir à mieux gérer mon temps d’écran. J’ai essayé des fonctions de limite de temps mais vu que je le mets moi même je peux juste l’enlever genre et je le fais à chaque fois j’ai l’impression que ça fais juste empirer.
Désolée si c’était dur à comprendre, mes phrases étaient peut être un peu longues.
Merci d’avoir lu et merci d’avance pour les réponses!
Réponses
CamomilleRassurant4
elle/elle
Moi aussi!!!
Tu n'es pas le seul :)
Je ne me définis pas comme mon genre (je suis biologiquement fille) tout en acceptant bien mon sexe.
Je m'en fous de si je suis une fille, un gars ou autre. Si j'étais né gars, j'accepterais probablement très bien cette identité. Si un jour je voulais devenir, par exemple, un gars, ce serait purement pour le statut social, un bien matériel ou un facteur uniquement extérieur.
Mon identité interne est plutôt détaché de mon apparence; je ne vois pas comment à quoi a l'air mon corps fera en sorte que je ne suis plus moi, qu'il y aura drastiquement un changement au niveau fondamental du Moi.
Comme ce ne me dérange pas d'être fille ou gars, ce ne me dérange pas non plus qu'une autre personne choisisse de changer de genre. J'ai donc l'air aussi supportive qu'indifférente envers la transidentité : Fais ce que tu veux en autant que tu te sentes bien. <3 Tu as besoin que j'utilise un autre pronom? Parfait, ça me fait plaisir! ;)
En même temps, parfois, je me sens mal pour cette froideur. Même si j'encourage et je suis pour la liberté des LGBTQ+, je me sens mal de me sentir déconcernée; je me sens mal d'être presque incapable d'éprouver de la compassion pour eux qui sont condamnés par une erreur de la nature. J'ai l'impression d'être hypocrite et fausse dans mes soutiens envers eux; j'aimerais qu'ils ne savent que je fais fi de leur genre, je n'ose donc jamais m'exprimer sur ce sujet dans la « vraie » vie.
Je ne sais pas si c'est que tu veux dire par le fait que tu te fous un peu des pronoms, mais dans tous sens de ta question, je peux te répondre que non, il y au moins moi qui partage avec toi ce sentiment.
Par ailleurs, pour répondre à la question dans ton titre, j'ai fait une recherche sur la « non-définition d'un genre », et j'ai trouvé « agenre » :
Identité de genre des personnes qui ne se définissent dans aucun genre. Les personnes agenres rejettent entièrement ou partiellement l’idée même du genre et ressentent une absence totale ou partielle de genre. Il se rapproche du genre neutre, ou d'un troisième genre (ni masculin, ni féminin).
Si tu es agenre, tu n'es pas seul non plus, même si je ne me définis pas trop comme agenre parce que féminin et masculin existent visblement sous forme biologique.
LoutreAventureuse9
elle/elle
Allô,
C'est certain que tu n'es pas le seul à te sentir comme ça.
Il n'y a pas de raisin de faire une annonce pour cela. Juste être qui tu es et ce sera parfait. Il y a 1000 façons d'être un gars, comme il y a 1000 façons d'être une fille. Tu n'as pas à te mettre une étiquettes. Il y a comme une mode que ça presse de se mettre une etiquette, mais il n'y a tellement rien qui presse et il n'est pas nécessaire que cette etiquette arrive.