L’école m’envahit trop

avatar

CyclismeNaturel11

elle/elle

1a

J’ai de mauvaises notes mais pour de vrai mais le problème c’est que j’y mets tout mes efforts. Tout se que j’ai, je le mets dans mes études et ça me rend malades. Et la je dois dire mes notes à mes parents mais ça fait extrêmement peur car pour eu une bonne note c’est en haut de 80 seulement je suis en échec… aujourd’hui je me rend malades pour l’école, je ne dors plus car j’étudie la nuit pour avoir le plus de temps possible à l’école. Mais après je suis épuisée. Je sais vraiment plus quoi faire. Aidez-moi svp.

Réponses

  • avatar

    RoseSympathique7 alltheme

    Ado TJ·elle/elle·17 ans

    1a

    Salut @CyclismeNaturel11 !

    J'espère que tu vas bien. Je comprends que ce soit vraiment pas facile présentement. Sur le forum, t'es loin d'être la seule qui semble épuisée par les études et qui galère à s'en sortir. Je te comprends, tu n'es pas seule.

    Honnêtement, si tu es capable d'avoir une conversation franche avec tes parents, ça pourrait t'aider pour essayer, dans un sens, de t'enlever de la pression face à certains résultats en attente ou alors qui sont déjà rentrés.

    Le mieux c'est d'avoir une routine stable le matin et le soir. J'sais ce que ça fait d'être dans le rush comme ça, mais dès que t'as l'opportunité, essaie doucement d'intégrer un mode de vie avec des heures de sommeil et des 3 repas par jour si possible.

    Ça a l'air banal, mais pour vrai, ça peut faire une différence. Même si on a l'impression que travailler la nuit est une bonne solution, le manque de sommeil ne l'est jamais malheureusement.

    Si j'étais toi, j'essayerais peut-être aussi d'en parler avec des adultes de l'école comme psychoéducateur.trice, TES, TS, ou alors un.e prof que tu aimes bien.

    J'espère que mes quelques conseils pourront t'être utile.

    Prends soin de toi et à bientôt!

    RoseSympathique7

  • avatar

    QuesadillasActif16

    il/lui·15 ans

    1a

    Salut, je comprends ce que tu vis. Il y a quelques années pour mes parents c'était une chose importante que j'aille de très bonnes notes, je prenais le temps de bien faire mes devoirs etc et par la suite je leur si demander de discuter autour de la table avec eux et en discutant ils se sont rendus compte que avoir toujours ( 100) était pas si nécessaire mais au moins de bien étudié et de faire ses devoirs. Mais t'inquiète pas je comprends ce que tu peux ressentir comme émotions. Si tu es pas à l'aise de parler à tes parents autour de la table tu pourrais peut être leur écrire ce que tu ressens sur une feuille mobile.

    J'espère que ce don je t'ai proposer marchera 🤞. Prend soin de toi!

Dernières publications

Liste de discussions

  • avatar

    SésamePositive12

    elle/elle

    14h
    Nudes

    coucou, j’ai une question sur les nudes. Est-ce que c’est sécuritaire d’en envoyer? Je parle avec un mec depuis quelques temps sur les réseaux et il me demande de lui en envoyer parfois (la poitrine sans bra). Moi ça me dérange pas, j’ai juste peur de regretter après. Je lui fais confiance et il me fait confiance aussi, mais je sais pas c’est quoi les risques d’en envoyer. Merci bcp

  • avatar

    VentApaisant12

    elle/elle

    16h
    Je fais comment??

    Je suis vraiment proche de mon crush... mais il a une blonde!

    Il ne sait pas que c'est mon crush pas parce que j'ai peur de perdre ce que j'ai bâtit avec lui et de ne plus avoir de chances mais parce que c'est vraiment quelqu'un avec qui je me sens spécial et je voudrais pas le perdre vu qu'il est vraiment sweet et c'est un bon ami.


    Bref il m'a entendu parler à des filles de ma classe que j'aimais quelqu'un et là il veut vraiment savoir c'est qui, mais comme "C'EST TOI QUE J'AIME!!!!!" en tout cas je sais pas comment faire, lui dire ou pas, faire une devinette ou shooter, un long texte et attentive à sa réponse ou juste son nom et un remis de genre 1 jour après, en réel, en virtuel?? Comme on dit en bon Québecois; "J'suis dans merde en titi" haha


    xx vent

  • avatar

    CamomilleRassurant4

    elle/elle

    1j
    Ni passion, ni talent... jamais LA meilleure, jamais sincère

    Bonjour,


    Version courte :


    Comment avez-vous compris ce que vous aimez?

    Comment avez-vous appris quel type d'environnement, de métier, de personnes, etc., est-ce que vous recherchez?

    Comment être reconnaissant.e envers la vie? Comment être satisfait.e?

    Comment aimer? Comment être satisfaite? Comment être reconnaissante? Comment être sincère?


    Je n'ai ni passion ni talent. Je suis assez bonne dans tout, mais jamais assez bonne pour trôner. J'ai honte de perdre ; j'ai honte de mon handicap de gratitude.


    Je repousse les gens qui veulent s'approcher de moi et je suis parfois obsédée avec ceux qui ne me voient pas...



    Version longue


    Je suis déjà à ma dernière session de cégep. La date limite pour accepter un offre d'université est le 1er mai. Je n'ai pas encore pris ma décision.


    Après deux ans en Sciences, lettres et arts (SLA), tout ce que j'ai compris, c'est que je déteste la biologie : je déteste réduire le corps humain aux molécules et réactions chimiques et je ne comprends pas la ligne entre le vivant et le non-vivant.


    À cause de la particularité de mon programme (SLA), j'ai essayé plusieurs cours dans différents domaines (on s'entend que tout reste à la surface, voire même loin de la surface du domaine quelconque)...


    Mais, je n'ai pas remarqué un cours plus difficile que l'autre. De plus, je ne me sens pas plus avantagée dans un domaine par rapport aux autres personnes... Peu importe l'activité que je fais, je peux finir dans top 25%, mais jamais, JAMAIS, JAMAIS première... Je suis "bonne", mais jamais LA meilleure, et je veux être la meilleure, du moins, je pense que je veux l'être.


    Je fais partie de ce groupe embarrassant où nul ne s'en aperçoit. Les meilleurs sont appelés à l'avant et reçoivent la reconnaissance de tous, les pires reçoivent de l'attention car il faut les aider, mais le reste tombe dans l'oubli.


    Pour plus d'une fois, je suis arrivée finaliste pour qqch (un prix, une bourse, une mention d'honneur, un concours...), mais jamais je n'ai remporté. Si on nomme plusieurs personnes et on remet le prix à un, je suis le "plusieurs personnes". Si c'est le top 3 gagne quelque chose, je suis la 4e (en effet, c'est une histoire vraie). Si on nomme 2 personnes parmi une centaine, et on remet le prix à 1 seule personne, je suis la rejetée.


    L'écart n'est pas toujours très grand, mais je ne suis jamais, Jamais, JAMAIS prise, et ce, peu importe le domaine : français, histoire, mathématiques, physique, chimie, musique...


    Par exemple, on vient de recevoir les notes de l'épreuve uniforme de français, j'ai eu AAB. J'ai un B. J'ai honte.J'ai honte de perdre, de perdre à chaque fois.Pire, j'ai aussi honte de ne pas être assez reconnaissante envers la vie. Ma raison me dit que je suis déjà privilégiée, mais je suis incapable d'accepter les résultats, je suis incapable d'être satisfaite.


    Non, en fait, j'ai déjà obtenu des reconnaissances. J'ai déjà fini #1 à mon école, j'ai déjà reçu des prix... mais dès que je les obtiens, mon regard se tourne vers ce qu'il y a plus haut. J'oublie ce que j'ai. Je suis incapable de me contenter.


    Quand je pense aimer une matière comme la physique, j'ai peur de ne pas exceller assez pour étudier en physique, de devenir chercheuse en physique tellement que c'est compétitif.


    Cela s'applique aussi dans mes relations interpersonnelles. Vous l'avez sûrement deviné, je ne suis pas une bonne amie. Une fois que je connais quelqu'un, je vais pouvoir déduire ses pensées et de m'approcher de lui/elle sans être très sincère. Mon manque de sincérité va me rattraper : je peux manipuler jusqu'à un point où mon interlocuteur pense qu'on est bestie, mais moi, je sais que je ne suis pas si engagée dans cette relation et qu'il/elle ne me connaît pas. Je lui ai dessiné une fausse image de moi parce qu'à un point de ma vie, j'ai trouvé cette personne utile. Par logique, je ressens que c'est horrible. Résultat? j'ai honte pour ne pas avoir honte de mon manque de sincérité. Je peux même me sortir des arguments comme quoi ces gens ne perdent en réalité rien : ils ne s'en aperçoivent jamais, JAMAIS, de mon manque de sincérité. Je me dis même que c'est moi la victime, parce que c'est moi qui est forcée d'être actrice, parce qu'eux, ils ne savent rien de ce qui se passe. Bref, ça fait que je ne suis pas la priorité à personne. Il y a eu plusieurs qui ont tenté de me prendre dans leur groupe, c'est toujours moi qui refuse, qui commence à les éviter. Je suis peut-être incapable de me rapprocher de quelqu'un. Je commence à en avoir marre rapidement...


    En plus, je sélectionne les gens potentiellement amis aussi sévèrement que si je filtrais pour un amoureux. Le temps que les gens "friend zone" et "sex zone" les autres. Moi, je suis en train de "friend zone" et de "kick out" les autres. Je n'ai pas de "sex zone"... je doute que j'aie envie de tomber amoureuse.


    Oh oui, vous savez quel genre de personne qui ne m'ennuie pas? Les gens avec qui je n'ai pas été capable de tisser une amitié. C'est ironique, c'est paradoxal, c'est contradictoire, c'est ridicule!!



    Ahhh... quelle horrible personne...

    Que faire? Comment aimer? Comment être satisfaite? Comment être reconnaissante? Comment être sincère?

  • avatar

    PâtesDynamique8

    elle/elle

    1j
    Depression speculative

    Ce titre est lié à un certain mal-être que je cache depuis longtemps, un mal-être lié à mon apparence, mon intellect bref juste moi quoi. J'ai commencé à me questionner sérieusement ces derniers temps (même si pas vraiment cela fait déjà depuis des années que j'essaye de me comprendre) j'ai donc récemment remarquer que le traitement que j'ai reçu de mes parents et juste des autres ces dernières années étaient tous simplement "injuste", par exemple le fait que l'on s'adresse à moi sans respect à mon égard. Cette réflexion est assez liée au fait qu'en ce moment, j'ai cette phase où je me sens fatigué et déprimer, j'essaye de me reprendre, mais je me dis que ça n'en vaux peut être pas la peine. J'ai si hâte de disparaître parfois. Je ne veux plus me confronter aux autres cela m'épuise trop, je ne sais pas comment m'exprimer auprès d'eux. Parfois, je me rappelle que l'on me disait être grosse et autre en fait, je ne sais pas vraiment quand est ce que ma corpulence a commencé à changer, ça coïncide avec les moments de mon enfance où les choses étaient peu compliquer... Un déménagement duquel je n'arrivais pas à m'adapter et un long moment de solitude... Ou mes parents ont rarement essayé d'aider, mais bref après les choses, on commencer à s'améliorer ? Mais en même temps pas vraiment certaines de mes interactions avec les autres mon blessé au point ou aujourd'hui je n'arrive pas vraiment à tisser des liens, je suis comme stoïque si on veut, on me dit souvent que j'arbore une expression sérieuse dans les couloirs de l'école ce qui peut décourager certain de venir me parler. J'ai pensé faire une dépression il y a deux ans et j'espérais que ce soit le cas, car cela aurait pu être une explication à mon attitude et de savoir que ce n'est pas juste " l'adolescence". Cette maladie aurait pu être l'occasion d'expliquer ce blocage bizarre qui m'empêche de juste "profiter" de la vie (peu importe ce que cela veut dire.) de me sentir heureuse et épanouie. Tout cela fait peut-être partie du passer, mais je ne peux pas m'empêcher de maudire mes parents d'avoir été aussi négligent envers moi si a l'école, je m'efforçais d'aller bien à la maison je me sentais toujours mal et seule j'arrivais pas à voir cet endroit comme étant ma maison, aujourd'hui à chaque fois que je me rappelle de mon malheur, je ne peux pas m'empêcher de me sentir mélancolique et cela me donne l'impression qu'importe ce qui adviendra, le futur me paraîtra toujours aussi sombre.