Je ne sais plus où me situer…

Je vie depuis quelques mois un inconfort et des changements d’émotions brusques qui mettre mal a l’aise mes amis et mon copain… Je change d’humeur en moins de quelques seconde et je me déprime sur tout tres facilement. L’approche du cégep me stress et tout la vie autour aussi je ne sais plus si j’ai besoin d’aide ou de tout laisser tomber..

@MoutardeAutonome12

Allo @MoutardeAutonome12

Ça a l’air d’être une passe difficile pour toi… mélangeante et stressante. Je suis contente que tu sois venue en parler.

Je ne pense pas non que tu doives baisser les bras, tout laisser tomber. Tu mérites d’avoir de l’aide et d’aller mieux :) 

Les sautes d’humeurs, ça peut avoir plein de causes. De mon côté, je sais que je suis souvent à fleur de peau et portée à avoir des changements d’émotions brusques à l’approche de mes menstruations.

Je suis allée voir ma médecin de famille pour ça et elle m’a dit que c’était normal. Elle m’a prescrit la pilule (mais je ne suis jamais allée la récupérer parce que ça va mieux maintenant). Tu pourrais toi aussi aller voir un.e professionnel.le de la santé pour lui en parler. Peut-être que de la médication pourrait t’aider, je sais pas. Tu auras peut-être aussi des conseils, comme moi (elle m’avait dit de faire du yoga et de l’activité physique et de bien dormir). À 17 ans, sache qu’on peut avoir un rendez-vous médical sans l’autorisation de nos parents. Ils ne seront même pas avertis qu’on l’a eu si on ne leur dit pas (et si aucune vie n’est en danger).

Et si tu préfères, tu peux aller voir quelqu’un à ton école ou au CLSC plutôt qu’un.e médecin :) En parler à tes parents ou à un.e adulte de confiance autour de toi, même, serait une bonne idée. 

Ne reste pas seule, ok? Tu mérites vraiment d’être aidée.

Troubles avec l’école

Je suis en secondaire deux, mais je suis supposé d’être en trois. Ben bref, j'arrête pas d'être anxieuse ou angoissée lors de mes pensées noirs. J’essaye de parler s’en avec mon pédopsychiatre mais je suis incapable de proprement prendre ses conseils. J’essaye mon maximum mais rendu au présent je me sens incapable. Je suis dans un program qui a besoin de ma présence…mais jsp quoi faire, je me sens incapable.

C'est tu normal? (Idées noires)

Salut,

Ça fait un bout que je voulais en parler, mais je n'ai personne de proche. Alors comme dit dans le titre, j'ai des idées noires. Par contre, je ne veux pas nécessairement mourir pour de vrai. La vie est parfois superbe, mais parfois non. Comme normal dans le fond. En plus, je ne comprends pas pourquoi je pense au suicide, car j'ai une bonne famille, je n'ai pas de problème à l'école, etc....

Bon, jsp si vous pouvez m'aider, mais je voulais écrire pour que d'autres personnes comme moi se sentent moins seuls. :)

Est-ce que j'aime mon père ?

C'est bizarre comme feeling... mais je me demande parfois si j'aime vraiment mon père. J'ai toujours dit à mon père que je l'aimais . Mais, est-ce que je l'aime pour qui il est ou juste parce que c'est mon père et donc je suis comme "obligé". Mon père m'a beaucoup fait souffrir, surtout mentalement. Il me dit que si je m'habille de cette façon je n'aurais pas d'ami, il me jugent beaucoup sur plein de choses ( mes problèmes alimentaires, le fait que j'aime des choses pour les enfants, que j'apporte un toutou à l'extérieur *ESSA* ) . Il est déjà arrivé qu'il me dise des choses très blessants comme " est* d'enfant d'ch*enne de cal*ce " ou même qu'il soit agressif physique ( me donner un claque, me poussé par le cou sur mon lit, me poussé dehors la nuit en pyjamas en hiver *ma mère est venue me chercher* ) Malgré tout ça reste mon père et je peux avoir du plaisir avec lui . Je suis donc confuse surtout après un chicane. Je me demande si j'aime mon père. ( selon moi il n'est pas violent, les événements nommés sont rare )

La synesthésie

Allo aujourd’hui avec une de mes amies on a réaliser que jlavais peut-être une sorte de synesthésie. Après avoir faut quelques test on dirait que j’en ai vraiment.

je pense pas que j’ai besoin de conseil de rien mais ça mlexcite trop jlavais besoin d’en parler