retombé

récemment je suis retomber de haut. je me sentais enfin bien heureuse et j'avais arrêter de me couper mais j'ai rechuter je me sens fatiguer h24 et je me coupe la cuisse car ma mère avais vue mes cicatrice sur le bras je prend du retard sur l'école mon prof d'anglais que j'hais de tout mon être a donner 3 projet a rendre cette semaine je stresse pour ça et pour les autre matière qui n'arrête jamais histoire science et math enrichi art français...... ça n'arrête jamais. j'en peu plus. puis la semaine passer j'ai eu des idées noir genre vraiment intense. je voulais vraiment aller mieux mais on dirai que j'en suis incapable comme si un boulet attacher a ma cheville me rabaissai chaque foi que je remonte. je veut pas en parler a ma mère car elle retournerai sûrement la convo sur elle, mes amis non plus car ça m'apporte toujours du trouble et je ne sait pas comment en parler a l'école.

@LamaRespectueux9

Salut @LamaRespectueux9 ! Ohh non... Shoot, ça doit être souffrant de transporter tout ça... d'avoir plus d'énergie et l'impression que les choses ne vont pas s'améliorer et d'être overwhelmed avec tes travaux d'école... Je comprends... T'es tellement, strong d'en parler!!

Je get que tu n'aies pas envie d'en parler à ta mère ni à tes amies. Pour l'école, peut-être que tu pourrais envoyer un message sur teams - ou n'importe quelle autre plateforme vous utilisez - au service d'aide à l'élève de ton école? Peut-être qu'un intervenant pourrait t'aider à en parler avec qqun de l'école? Tu peux toujours aussi consulter https://suicide.ca/fr si/quand tes idées noires reviennent.

J't'envoies pleins d'ondes positives <3 Pis hésite vraiment à revenir en parler ici :) Courage -même si je sais que c'est difficile...- , j'crois en toi! <33

Sincèrement,

Terre <3

Troubles avec l’école

Je suis en secondaire deux, mais je suis supposé d’être en trois. Ben bref, j'arrête pas d'être anxieuse ou angoissée lors de mes pensées noirs. J’essaye de parler s’en avec mon pédopsychiatre mais je suis incapable de proprement prendre ses conseils. J’essaye mon maximum mais rendu au présent je me sens incapable. Je suis dans un program qui a besoin de ma présence…mais jsp quoi faire, je me sens incapable.

C'est tu normal? (Idées noires)

Salut,

Ça fait un bout que je voulais en parler, mais je n'ai personne de proche. Alors comme dit dans le titre, j'ai des idées noires. Par contre, je ne veux pas nécessairement mourir pour de vrai. La vie est parfois superbe, mais parfois non. Comme normal dans le fond. En plus, je ne comprends pas pourquoi je pense au suicide, car j'ai une bonne famille, je n'ai pas de problème à l'école, etc....

Bon, jsp si vous pouvez m'aider, mais je voulais écrire pour que d'autres personnes comme moi se sentent moins seuls. :)

Est-ce que j'aime mon père ?

C'est bizarre comme feeling... mais je me demande parfois si j'aime vraiment mon père. J'ai toujours dit à mon père que je l'aimais . Mais, est-ce que je l'aime pour qui il est ou juste parce que c'est mon père et donc je suis comme "obligé". Mon père m'a beaucoup fait souffrir, surtout mentalement. Il me dit que si je m'habille de cette façon je n'aurais pas d'ami, il me jugent beaucoup sur plein de choses ( mes problèmes alimentaires, le fait que j'aime des choses pour les enfants, que j'apporte un toutou à l'extérieur *ESSA* ) . Il est déjà arrivé qu'il me dise des choses très blessants comme " est* d'enfant d'ch*enne de cal*ce " ou même qu'il soit agressif physique ( me donner un claque, me poussé par le cou sur mon lit, me poussé dehors la nuit en pyjamas en hiver *ma mère est venue me chercher* ) Malgré tout ça reste mon père et je peux avoir du plaisir avec lui . Je suis donc confuse surtout après un chicane. Je me demande si j'aime mon père. ( selon moi il n'est pas violent, les événements nommés sont rare )

La synesthésie

Allo aujourd’hui avec une de mes amies on a réaliser que jlavais peut-être une sorte de synesthésie. Après avoir faut quelques test on dirait que j’en ai vraiment.

je pense pas que j’ai besoin de conseil de rien mais ça mlexcite trop jlavais besoin d’en parler