Comment on appelle ça
LentilleSociable12
il/lui·20 ans
Je me défini pas vraiment comme un gars ni comme une fille mais je trouve ça inutile de faire un coming out puisque ça change pas grand chose à par le fait que je me fous un peu des pronoms qu'on utilisé pour me genrer y'a tu juste moi qui se sent comme ça?
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Liste de discussions
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AbeilleServiable13
elle/il
19hTroubles avec l’écoleJe suis en secondaire deux, mais je suis supposé d’être en trois. Ben bref, j'arrête pas d'être anxieuse ou angoissée lors de mes pensées noirs. J’essaye de parler s’en avec mon pédopsychiatre mais je suis incapable de proprement prendre ses conseils. J’essaye mon maximum mais rendu au présent je me sens incapable. Je suis dans un program qui a besoin de ma présence…mais jsp quoi faire, je me sens incapable.
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PaprikaSérieux14
iel·16 ans
1jC'est tu normal? (Idées noires)Salut,
Ça fait un bout que je voulais en parler, mais je n'ai personne de proche. Alors comme dit dans le titre, j'ai des idées noires. Par contre, je ne veux pas nécessairement mourir pour de vrai. La vie est parfois superbe, mais parfois non. Comme normal dans le fond. En plus, je ne comprends pas pourquoi je pense au suicide, car j'ai une bonne famille, je n'ai pas de problème à l'école, etc....
Bon, jsp si vous pouvez m'aider, mais je voulais écrire pour que d'autres personnes comme moi se sentent moins seuls. :)
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ThéOrganisé17
elle/elle·14 ans
1jEst-ce que j'aime mon père ?C'est bizarre comme feeling... mais je me demande parfois si j'aime vraiment mon père. J'ai toujours dit à mon père que je l'aimais . Mais, est-ce que je l'aime pour qui il est ou juste parce que c'est mon père et donc je suis comme "obligé". Mon père m'a beaucoup fait souffrir, surtout mentalement. Il me dit que si je m'habille de cette façon je n'aurais pas d'ami, il me jugent beaucoup sur plein de choses ( mes problèmes alimentaires, le fait que j'aime des choses pour les enfants, que j'apporte un toutou à l'extérieur *ESSA* ) . Il est déjà arrivé qu'il me dise des choses très blessants comme " est* d'enfant d'ch*enne de cal*ce " ou même qu'il soit agressif physique ( me donner un claque, me poussé par le cou sur mon lit, me poussé dehors la nuit en pyjamas en hiver *ma mère est venue me chercher* ) Malgré tout ça reste mon père et je peux avoir du plaisir avec lui . Je suis donc confuse surtout après un chicane. Je me demande si j'aime mon père. ( selon moi il n'est pas violent, les événements nommés sont rare )
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GuitareChanceuse6
elle/elle
1jLa synesthésieAllo aujourd’hui avec une de mes amies on a réaliser que jlavais peut-être une sorte de synesthésie. Après avoir faut quelques test on dirait que j’en ai vraiment.
je pense pas que j’ai besoin de conseil de rien mais ça mlexcite trop jlavais besoin d’en parler
Réponses
CamomilleRassurant4
elle/elle
Moi aussi!!!
Tu n'es pas le seul :)
Je ne me définis pas comme mon genre (je suis biologiquement fille) tout en acceptant bien mon sexe.
Je m'en fous de si je suis une fille, un gars ou autre. Si j'étais né gars, j'accepterais probablement très bien cette identité. Si un jour je voulais devenir, par exemple, un gars, ce serait purement pour le statut social, un bien matériel ou un facteur uniquement extérieur.
Mon identité interne est plutôt détaché de mon apparence; je ne vois pas comment à quoi a l'air mon corps fera en sorte que je ne suis plus moi, qu'il y aura drastiquement un changement au niveau fondamental du Moi.
Comme ce ne me dérange pas d'être fille ou gars, ce ne me dérange pas non plus qu'une autre personne choisisse de changer de genre. J'ai donc l'air aussi supportive qu'indifférente envers la transidentité : Fais ce que tu veux en autant que tu te sentes bien. <3 Tu as besoin que j'utilise un autre pronom? Parfait, ça me fait plaisir! ;)
En même temps, parfois, je me sens mal pour cette froideur. Même si j'encourage et je suis pour la liberté des LGBTQ+, je me sens mal de me sentir déconcernée; je me sens mal d'être presque incapable d'éprouver de la compassion pour eux qui sont condamnés par une erreur de la nature. J'ai l'impression d'être hypocrite et fausse dans mes soutiens envers eux; j'aimerais qu'ils ne savent que je fais fi de leur genre, je n'ose donc jamais m'exprimer sur ce sujet dans la « vraie » vie.
Je ne sais pas si c'est que tu veux dire par le fait que tu te fous un peu des pronoms, mais dans tous sens de ta question, je peux te répondre que non, il y au moins moi qui partage avec toi ce sentiment.
Par ailleurs, pour répondre à la question dans ton titre, j'ai fait une recherche sur la « non-définition d'un genre », et j'ai trouvé « agenre » :
Identité de genre des personnes qui ne se définissent dans aucun genre. Les personnes agenres rejettent entièrement ou partiellement l’idée même du genre et ressentent une absence totale ou partielle de genre. Il se rapproche du genre neutre, ou d'un troisième genre (ni masculin, ni féminin).
Si tu es agenre, tu n'es pas seul non plus, même si je ne me définis pas trop comme agenre parce que féminin et masculin existent visblement sous forme biologique.
LoutreAventureuse9
elle/elle
Allô,
C'est certain que tu n'es pas le seul à te sentir comme ça.
Il n'y a pas de raisin de faire une annonce pour cela. Juste être qui tu es et ce sera parfait. Il y a 1000 façons d'être un gars, comme il y a 1000 façons d'être une fille. Tu n'as pas à te mettre une étiquettes. Il y a comme une mode que ça presse de se mettre une etiquette, mais il n'y a tellement rien qui presse et il n'est pas nécessaire que cette etiquette arrive.