J’ai mal, mais je me tais depuis trop longtemps

Je ne sais pas vraiment par où commencer, parce que ce que je vis me dépasse. J’ai l’impression de porter un poids que personne ne voit. Je me suis déjà automutilée. Pour faire taire ce qui hurlait en dedans. Pour sentir quelque chose, n’importe quoi, quand tout devenait trop lourd. J’ai déjà voulu en finir. J’ai fait des tentatives de suicide. Pas pour attirer l’attention, mais parce que je ne voyais plus d’issue. Parce que la douleur était trop grande, trop constante. J’ai perdu des amis. Peut-être parce qu’ils ne comprenaient pas, peut-être parce que je me suis enfermée dans ma souffrance. Ou peut-être parce que je ne savais plus comment être "normale". J’ai connu l’amour, ou du moins ce que je pensais être de l’amour. Mais c’était toxique. J’ai été brisée dans des relations où je me suis effacée, où je croyais que je méritais d’être mal aimée. J’ai vécu une agression sexuelle. Un moment qui m’a marquée à vie, que j’essaie encore de comprendre, de guérir. J’ai été placée dans une famille qui n’était pas la mienne. Arrachée à mes repères, comme si j’étais un problème à régler plutôt qu’une personne à aider. J’ai connu la violence conjugale. La peur dans le quotidien. Les mots qui frappent. Les gestes qui blessent. La sensation que ma voix ne comptait pas. Je vis avec la dépression. Cette noirceur qui revient sans prévenir. Qui me fait croire que je ne vaux rien. Que je dérange. Que je suis de trop. Et surtout… je me sens à l’écart. Comme si je n’avais pas de place. Comme si je ne faisais pas partie du monde qui m’entoure. Mais aujourd’hui, j’écris tout ça pour une raison : je veux être entendue. Je veux arrêter de me cacher. Je veux trouver de l’aide. Je veux croire que malgré tout ce que j’ai vécu, je peux encore me reconstruire. 

@VolleybalCharmeur13

Heyyy, salut @VolleybalCharmeur13 !

Je voulais commencer par te dire que ton message m’a vraiment touchée. Tu vis tellement de trucs lourds, pis t’as eu le courage d’en parler!

T’es pas toute seule, même si ça en a l’air des fois. Tu mérites d’être écoutée pis aidée pour vrai. Si tu veux, tu pourrais parler à des intervenant.es à ton école et tu pourrais aussi écrire à des intervenant.es sur Teljeunes.

J’espère que je t’ai un peu aidée. J’espère que tu vas aller mieux. Courage t’es pas seule !

@SaxophoneRaisonnable2

Salut. Premièrement sache que tu as fait la bonne chose en partageant ton vécu parce qu'il ne faut pas que tu reste seule avec tout ça. En lisant ce que tu as écrit, je pense que tu devrais consulter de l'aide professionnelle. Tel-jeunes peut t'aider, mais des professionnels sauront mieux t'accompagner.

Si tu n'a jamais consulter un professionnel, ce n'est vraiment pas grave. Tu pourrais commencer par aller voir les intervenants de ton école. Tu peut aller voir ton TES en premier et tout lui raconter en insistant pour que tout reste confidentiel. Il ou elle est fait pour ça et pourra t'aider. Ta situation est très grave alors le TES n'aura pas le choix de t'écouter, c'est selon moi la bonne personne à aller voir.

Par la suite, il pourra te proposer d'aller consulter le psychologue de ton école. C'est gratuit et cette personne va pouvoir t'aider à surmonter tout ça. Tu peux également prendre les choses en main et demander directement à ton TES si tu pourrais consulter le psy, ou tu peux même écrire un courriel au psy pour lui demander un rendez-vous.

Il existe également des lignes téléphoniques spécialisées pour les gens ayant subis une agression sexuelle. Je te recommande de trouver quelque chose de ce genre disponible dans ta région car ce sont vraiment des gens qui pourront t'écouter.

C'est sûr que ce ne doit pas être facile de vivre avec tout ça sur les épaules. Le meilleur moyen de se sentir mieux, c'est le temps. Un jour la dépression va passer, dit toi que chaque journée est une victoire parce que tu as su la surmonter. Mais un professionnel comme un psychologue pourrait vraiment t'aider.

J'espère que tu va prendre soin de toi et prendre les choses en main pour aller mieux, je t'envoie du courage.

Ça ne rentre pas

À chaque fois que mon chum et moi font l’amour son engin a beaucoup de difficulté à rentrer je comprend pas car je suis bien mouiller et tout ça fait depuis le début qu’on a commencer à faire ça que ça m’arrive je comprend pas car quand je me masturbe ça ne me fait pas ça

Mélangée

JSP si c'est le bon thème,mais j'ai besoin de réponse. En fait,j'ai 14 ans et y'a un gars de mon école que je trouve vrm cute. J'ai jamais été en amour avant don jsp si je le trouve juste attirant ou si c'est un crush.On c déjà parlé un peu et la connexion passait bien. Le seul problème, il a 16 ans et je me dis que c'est quasiment impossible qu'il s'intéresse à moi. Je me demandais aussi si c'était normal d'avoir l'impression que tous les gars me trouve pathétique. Voilà!

Ami ou pas ?

J'ai un ami que je cotoie depuis ma première année du secondaire et je ne sais pas comment j'ai fait...il voit le mal partout par exemple un soir nouss avons été chez un ami de notre groupe d'ami, cet ami a un piano chez lui au rez-de-chaussée. Étant qu'il fait du piano il commence a en faire, seul bémol il 19h30, nous nous aprêtons a souper la mère de mon ami est visblement exténué, nous nous sommes beaucooup amuusé dans le sous sol longtemps, tout le monde est épuiséje lui demande donc d'arrêter ou a minima de jouer sur le piano du sous sol, mais lui choqué par ma demande me dit que je suis ridicule et il dit aussi quelque chose comme : Le respect a atteint un niveau si bas que quelqu'un ne peut plus jouer ce qu'il aime sans qu'un jaloux vienne lui dire d'arrêter... sauf que son présumé jaoux c'est moi ce que je ne suis pas... Il y a aussi un moment après les classes ou il a enlevé le cordon de son pantalon et me l'a enroulé autour du coup et m'a littéralement traité comme un chien, en me donnant des ordres et tout, tout mes "amis" autour ont ris, malgré le fait que je lui ai dit d'arrêter.. il avait fait un noeud coulant je ne pouvais pas me libérer et j'étais fatigué de ma journée...Il y a aussi tout les moments ou il me traite de gros sans blague ni rien aucune excuse juste il dit des trucs commme ....oui mais toi tu peux pas le faire vu que tes gros. ou encore Oh wow (mon nom) tu manges autre chose que des trucs avec du sucre dedans je te félicité tu va être moins gros (suivi d'applaudissements) et toute sorte de blague comme cela. Il y a aussi un moment ou nous faisions un kahoot d'halloween, une des questions était "De quel pays fait partie la transylvanie" j'ai répondu Roumanie mais pour blaguer je lui ai dit que j'ai répondu Pologne a la blague et comme il est con e trop ppremier degré il a fraiment cru que j'avais mis Pologne donc il a commencéa rire de moi bruyamment, me pointant du doigts et riant méchamment, il a répété cela a chauqe faute, puis a la fin du kahoot après une énième erreur je lui dis d'arreter parce que c'est méchant mais non seulement il n'arrête pas de rire mais en plus il me regarde comme si j'étais un bébé qui fait une crise, toujours avec ce rire en coin. Et comme cela ne suffisait ppas un jour j'ai oublié mon ordi a l'école, il l'a ramenéchez lui donc pour mele rendre le lendemain, mais il en a profité pour fouillez dedans et de me menacer de tout dévoilé a chaque que je le contredis ou que je commence pour X raison a l'énerver. Je tiens a rappeller que j'ai un problême de pornographie...Pour clore cette publication je rajoute juste que j'ai constament l'impression qu,il me juge et qu,il rit de mon apparence quand il me voit a cause de son rictus... merci beaucoup

Automutilation/rechute

Bonjours, depuis l'année passé je ne vas pas bien. L'année dernière je me suis ramasser a l'hôpital car javais des iddée suicidère. Depuis, mon entourage ont pris tout cela au sérieux. C'est pourquoi je suis entourer de beaucoup de professionnel. À cause de l'été, cela ma permis de mieux me connaître et de prendre soins de moi. J'avais arrêter de me mutiler depuis se temps mais il y a un mois j'ai recommencer. Je n'ose pas en parler aux professionnel car je suis bien dans tout cela puis sa me fait du bien. Je suis au courant que ce n'est pas la meilleur solution mais je ressent comme une addiction a cela. J'ai débuter une ceance avec une psy mais j'ai peur si je lui en parle elle veule vraiment que j'arrête et qu'elle le dise à mes parents. Bref j'ai dit a tout mes professionnel que j'avais arrêter mais ce n'est pas le cas. Je suis un peu perdue dans tout cela car je ne veut pas vraiment que mes parents le savent encore une fois et qu'il me prive de tout objet coupant.

Merci pour votre lecture et votre soutiens!