Annoncer à mes parent ma sexualité

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Baklavasprodigieux12

il/lui·16 ans

1a

Bonjour!

je suis bi mais je ne sait pas comment annoncer à ma mère,

j’ai peur de comment elle va réagir, comment elle va le prendre….

comment vous avez fait pour l’annoncer à vos parent ? :)

Réponses

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    FootbalAssidu7

    il/lui·16 ans

    1a

    Jsp moi je lai tjrs pas dit pcq mes parents font vrmt homophobe...

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    BélierTalentueuse1

    elle/elle·17 ans

    1a

    @Baklavasprodigieux12

    Salut !

    Je l'ai dit un jour à mes parents sans vraiment que ça sois organisée haha.

    J'ai commencée à parler d'un ami à moi qui est trans au souper. On parlait de LGBTQ+ et après ma mère m'a dit où est-ce que je me situait en ce moment.

    Je lui est dit que je me sentais bi. 🫠

    Comme mon père est allée faire un call il n'a pas entendu, mais je lui est parlée un jour quand on est allée mangée quelque chose juste nous deux...

    Au début, c'est propos était assez dure... Il m'a genre dit que « Ouais mais c'est juste dans ta tête » « Tu peux pas le savoir sans avoir fait l'amour »

    Mais au moins, tout vas bien maintenant.Et mes parents le savent maintenant. Et je suis vraiment fière de l'être. Je me suis mise des petites perles sur mes souliers ( rose, mauve, bleu ) , et j'ai pris le risque de me dessiner avec le drapeau bi et le mettre sur mon insta comme photo de profil !

    J'en suis fière :) J'en suis vraiment fière :') Je m'identifie bi en toute discrétion hihi 🏳️‍🌈🙈

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    RoseSympathique7 alltheme

    Ado TJ·elle/elle·17 ans

    1a

    Salut @Baklavasprodigieux12 !

    J'espère que tu vas bien!

    Je suis vraiment contente que tu poses cette question!

    Écoute, je vais t'expliquer l'histoire de mon coming out (en tant que lesbienne). J'sais, c'est loin d'être facile, mais promis, après t'es tellement soulagé.e!

    Alors, j'fais ça simple, c'est pas super compliqué. J'étais en secondaire 2, juin de secondaire 2, et puis un soir par pure impulsivité, j'ai pris un marqueur et un post-it, j'ai écris dessus « je suis lesbienne », pis je l'ai collé sur ma porte de chambre. C'est assez insolite, mais bon, c'était ma manière à moi!

    Y a plein de manières d'en parler à ses parents. Comme @BélierTalentueuse1 l'a dit, tu peux faire ça un parent à la fois, tu peux faire ça comme tu te sens à l'aise de le faire.

    Les commentaires qu'on peut recevoir au début c'est pas tout le temps facile à prendre, mais faut aussi penser au fait que c'est une surprise pour eux dans certains cas et qu'ils parlent très « sur le moment » sans trop réfléchir à l'impact que ça va avoir sur nous. Faut donc pas le overthink et si ça nous blesse, alors hésite pas à en parler avec ton parent.

    Moi pour ma part, ça a super bien été. Je suis reconnaissante: pas de mauvais commentaires, juste du soutien. Alors faut pas trop s'inquiéter des fois, même si pour certaines personnes c'est plus difficile, je le sais.

    Prends soin de toi et j'espère avoir pu t'aider!

    Au plaisir de te répondre,

    RoseSympathique7

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    NatationSincère16

    iel·15 ans

    1a

    Allo!

    J'ai dit à mes parents que j'étais pansexuel d'une façon super cool. Je me suis faite un compte kahoot et j'ai créer un questionnaire sur moi. À la dernière question, j'avais écrit une question disant; «Est-ce que ____ est pansexuel?»

    Quand mes parents se sont rendus compte que je ne niaisais pas ils ont commencés à pleuré.

    N'oublie pas que tes parents vont toujours te supporter et t'aimeront toujours peu importe ce qu'il arrive.

    Bonne chance!

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Liste de discussions

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    SésamePositive12

    elle/elle

    2h
    Nudes

    coucou, j’ai une question sur les nudes. Est-ce que c’est sécuritaire d’en envoyer? Je parle avec un mec depuis quelques temps sur les réseaux et il me demande de lui en envoyer parfois (la poitrine sans bra). Moi ça me dérange pas, j’ai juste peur de regretter après. Je lui fais confiance et il me fait confiance aussi, mais je sais pas c’est quoi les risques d’en envoyer. Merci bcp

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    VentApaisant12

    elle/elle

    4h
    Je fais comment??

    Je suis vraiment proche de mon crush... mais il a une blonde!

    Il ne sait pas que c'est mon crush pas parce que j'ai peur de perdre ce que j'ai bâtit avec lui et de ne plus avoir de chances mais parce que c'est vraiment quelqu'un avec qui je me sens spécial et je voudrais pas le perdre vu qu'il est vraiment sweet et c'est un bon ami.


    Bref il m'a entendu parler à des filles de ma classe que j'aimais quelqu'un et là il veut vraiment savoir c'est qui, mais comme "C'EST TOI QUE J'AIME!!!!!" en tout cas je sais pas comment faire, lui dire ou pas, faire une devinette ou shooter, un long texte et attentive à sa réponse ou juste son nom et un remis de genre 1 jour après, en réel, en virtuel?? Comme on dit en bon Québecois; "J'suis dans merde en titi" haha


    xx vent

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    CamomilleRassurant4

    elle/elle

    21h
    Ni passion, ni talent... jamais LA meilleure, jamais sincère

    Bonjour,


    Version courte :


    Comment avez-vous compris ce que vous aimez?

    Comment avez-vous appris quel type d'environnement, de métier, de personnes, etc., est-ce que vous recherchez?

    Comment être reconnaissant.e envers la vie? Comment être satisfait.e?

    Comment aimer? Comment être satisfaite? Comment être reconnaissante? Comment être sincère?


    Je n'ai ni passion ni talent. Je suis assez bonne dans tout, mais jamais assez bonne pour trôner. J'ai honte de perdre ; j'ai honte de mon handicap de gratitude.


    Je repousse les gens qui veulent s'approcher de moi et je suis parfois obsédée avec ceux qui ne me voient pas...



    Version longue


    Je suis déjà à ma dernière session de cégep. La date limite pour accepter un offre d'université est le 1er mai. Je n'ai pas encore pris ma décision.


    Après deux ans en Sciences, lettres et arts (SLA), tout ce que j'ai compris, c'est que je déteste la biologie : je déteste réduire le corps humain aux molécules et réactions chimiques et je ne comprends pas la ligne entre le vivant et le non-vivant.


    À cause de la particularité de mon programme (SLA), j'ai essayé plusieurs cours dans différents domaines (on s'entend que tout reste à la surface, voire même loin de la surface du domaine quelconque)...


    Mais, je n'ai pas remarqué un cours plus difficile que l'autre. De plus, je ne me sens pas plus avantagée dans un domaine par rapport aux autres personnes... Peu importe l'activité que je fais, je peux finir dans top 25%, mais jamais, JAMAIS, JAMAIS première... Je suis "bonne", mais jamais LA meilleure, et je veux être la meilleure, du moins, je pense que je veux l'être.


    Je fais partie de ce groupe embarrassant où nul ne s'en aperçoit. Les meilleurs sont appelés à l'avant et reçoivent la reconnaissance de tous, les pires reçoivent de l'attention car il faut les aider, mais le reste tombe dans l'oubli.


    Pour plus d'une fois, je suis arrivée finaliste pour qqch (un prix, une bourse, une mention d'honneur, un concours...), mais jamais je n'ai remporté. Si on nomme plusieurs personnes et on remet le prix à un, je suis le "plusieurs personnes". Si c'est le top 3 gagne quelque chose, je suis la 4e (en effet, c'est une histoire vraie). Si on nomme 2 personnes parmi une centaine, et on remet le prix à 1 seule personne, je suis la rejetée.


    L'écart n'est pas toujours très grand, mais je ne suis jamais, Jamais, JAMAIS prise, et ce, peu importe le domaine : français, histoire, mathématiques, physique, chimie, musique...


    Par exemple, on vient de recevoir les notes de l'épreuve uniforme de français, j'ai eu AAB. J'ai un B. J'ai honte.J'ai honte de perdre, de perdre à chaque fois.Pire, j'ai aussi honte de ne pas être assez reconnaissante envers la vie. Ma raison me dit que je suis déjà privilégiée, mais je suis incapable d'accepter les résultats, je suis incapable d'être satisfaite.


    Non, en fait, j'ai déjà obtenu des reconnaissances. J'ai déjà fini #1 à mon école, j'ai déjà reçu des prix... mais dès que je les obtiens, mon regard se tourne vers ce qu'il y a plus haut. J'oublie ce que j'ai. Je suis incapable de me contenter.


    Quand je pense aimer une matière comme la physique, j'ai peur de ne pas exceller assez pour étudier en physique, de devenir chercheuse en physique tellement que c'est compétitif.


    Cela s'applique aussi dans mes relations interpersonnelles. Vous l'avez sûrement deviné, je ne suis pas une bonne amie. Une fois que je connais quelqu'un, je vais pouvoir déduire ses pensées et de m'approcher de lui/elle sans être très sincère. Mon manque de sincérité va me rattraper : je peux manipuler jusqu'à un point où mon interlocuteur pense qu'on est bestie, mais moi, je sais que je ne suis pas si engagée dans cette relation et qu'il/elle ne me connaît pas. Je lui ai dessiné une fausse image de moi parce qu'à un point de ma vie, j'ai trouvé cette personne utile. Par logique, je ressens que c'est horrible. Résultat? j'ai honte pour ne pas avoir honte de mon manque de sincérité. Je peux même me sortir des arguments comme quoi ces gens ne perdent en réalité rien : ils ne s'en aperçoivent jamais, JAMAIS, de mon manque de sincérité. Je me dis même que c'est moi la victime, parce que c'est moi qui est forcée d'être actrice, parce qu'eux, ils ne savent rien de ce qui se passe. Bref, ça fait que je ne suis pas la priorité à personne. Il y a eu plusieurs qui ont tenté de me prendre dans leur groupe, c'est toujours moi qui refuse, qui commence à les éviter. Je suis peut-être incapable de me rapprocher de quelqu'un. Je commence à en avoir marre rapidement...


    En plus, je sélectionne les gens potentiellement amis aussi sévèrement que si je filtrais pour un amoureux. Le temps que les gens "friend zone" et "sex zone" les autres. Moi, je suis en train de "friend zone" et de "kick out" les autres. Je n'ai pas de "sex zone"... je doute que j'aie envie de tomber amoureuse.


    Oh oui, vous savez quel genre de personne qui ne m'ennuie pas? Les gens avec qui je n'ai pas été capable de tisser une amitié. C'est ironique, c'est paradoxal, c'est contradictoire, c'est ridicule!!



    Ahhh... quelle horrible personne...

    Que faire? Comment aimer? Comment être satisfaite? Comment être reconnaissante? Comment être sincère?

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    PâtesDynamique8

    elle/elle

    22h
    Depression speculative

    Ce titre est lié à un certain mal-être que je cache depuis longtemps, un mal-être lié à mon apparence, mon intellect bref juste moi quoi. J'ai commencé à me questionner sérieusement ces derniers temps (même si pas vraiment cela fait déjà depuis des années que j'essaye de me comprendre) j'ai donc récemment remarquer que le traitement que j'ai reçu de mes parents et juste des autres ces dernières années étaient tous simplement "injuste", par exemple le fait que l'on s'adresse à moi sans respect à mon égard. Cette réflexion est assez liée au fait qu'en ce moment, j'ai cette phase où je me sens fatigué et déprimer, j'essaye de me reprendre, mais je me dis que ça n'en vaux peut être pas la peine. J'ai si hâte de disparaître parfois. Je ne veux plus me confronter aux autres cela m'épuise trop, je ne sais pas comment m'exprimer auprès d'eux. Parfois, je me rappelle que l'on me disait être grosse et autre en fait, je ne sais pas vraiment quand est ce que ma corpulence a commencé à changer, ça coïncide avec les moments de mon enfance où les choses étaient peu compliquer... Un déménagement duquel je n'arrivais pas à m'adapter et un long moment de solitude... Ou mes parents ont rarement essayé d'aider, mais bref après les choses, on commencer à s'améliorer ? Mais en même temps pas vraiment certaines de mes interactions avec les autres mon blessé au point ou aujourd'hui je n'arrive pas vraiment à tisser des liens, je suis comme stoïque si on veut, on me dit souvent que j'arbore une expression sérieuse dans les couloirs de l'école ce qui peut décourager certain de venir me parler. J'ai pensé faire une dépression il y a deux ans et j'espérais que ce soit le cas, car cela aurait pu être une explication à mon attitude et de savoir que ce n'est pas juste " l'adolescence". Cette maladie aurait pu être l'occasion d'expliquer ce blocage bizarre qui m'empêche de juste "profiter" de la vie (peu importe ce que cela veut dire.) de me sentir heureuse et épanouie. Tout cela fait peut-être partie du passer, mais je ne peux pas m'empêcher de maudire mes parents d'avoir été aussi négligent envers moi si a l'école, je m'efforçais d'aller bien à la maison je me sentais toujours mal et seule j'arrivais pas à voir cet endroit comme étant ma maison, aujourd'hui à chaque fois que je me rappelle de mon malheur, je ne peux pas m'empêcher de me sentir mélancolique et cela me donne l'impression qu'importe ce qui adviendra, le futur me paraîtra toujours aussi sombre.